« J’emporterai le feu », de Leïla Slimani : un ultime tome intense et bouleversant
Avec son dernier roman, Leïla Slimani clôt en beauté sa trilogie romanesque, Le Pays des autres, inspirée de son histoire familiale et de celle du Maroc.
Avec son dernier roman, Leïla Slimani clôt en beauté sa trilogie romanesque, Le Pays des autres, inspirée de son histoire familiale et de celle du Maroc.
C’est parti pour la rentrée littéraire de janvier 2025 ! Parmi les 507 romans attendus, nous vous proposons de découvrir 20 « coups de cœur » de la rédaction. Des livres à retrouver dans nos pages littéraires, au cours des semaines à venir.
Dans ce second épisode des aventures de Kalmann, on retrouve avec plaisir ce personnage singulier, l’idiot d’un petit village islandais, mais un idiot du village qui aurait oublié d’être bête.
Une tombe pour deux de Ron Rash est drame familial poignant. Sur fond de guerre de Corée, l’écrivain américain raconte la terrible machination élaborée par des parents prêts à tout pour protéger leur fils mais aussi les intérêts familiaux. Magnifique !
Dans Fort Alamo, Fabrice Caro se met dans la peau d’un homme qui a le pouvoir malgré lui d’éliminer ses semblables. Un roman ponctué d’humour, mais duquel ressort une forme de poésie et de mélancolie évidente.
Dans ce récit autobiographique, Clémentine Mélois retrace les dernières semaines de son père, Bernard Mélois. Faisant revivre avec tendresse et drôlerie l’histoire de sa famille, elle livre un émouvant portrait de celui qui lui a transmis son regard singulier et joyeux sur le monde.
Il a fallu patienter sept ans avant de lire le deuxième roman de Nathan Hill, après Les fantômes du vieux pays, Bien-être raconte le parcours amoureux de deux personnages qui nous ressemblent et qui affrontent la mélancolie de notre réalité contemporaine. Bravo !
Le maître du « polar sudaf » se renouvelle avec un scénario de braquage ! Leo est le thriller le plus « cinéma » de la série avec un minutage ultra-précis, parfaitement maîtrisé par un scénariste dopé à l’adrénaline !
Avec Houris, Kamel Daoud nous plonge dans la décennie noire qui a frappé son pays natal, l’Algérie, à travers le parcours d’un femme. Un roman d’une puissance d’évocation absolue, mais dans lequel le poids du symbole écrase le récit.
Avec La vie meilleure, Etienne Kern nous offre un portrait, tout en nuances, à la fois tendre et mélancolique, d’Emile Coué, cet homme qui a permis à des patients d’aller mieux grâce à des pratiques thérapeutiques novatrices, au tout début du XXe siècle.