
« 28 ans plus tard » de Danny Boyle : autopsie d’un navet
Le seul plaisir qu’on pourra prendre en regardant l’épouvantable 28 ans plus tard, c’est bien de se réjouir à l’avance de tout le mal qu’on pourra ensuite en dire. Car il n’est pas si fréquent de rencontrer des films aussi mauvais : cela mérite bien un article !