
« Empire of Light » de Sam Mendes : entre somnolence et dégoût
On savait Mendes très mauvais – malgré sa bonne réputation usurpée – mais avec Empire of Light, il bat tous les records d’insignifiance et d’incompétence. Un navet exemplaire.
On savait Mendes très mauvais – malgré sa bonne réputation usurpée – mais avec Empire of Light, il bat tous les records d’insignifiance et d’incompétence. Un navet exemplaire.
Adaptant sur grand écran sa pièce à succès, Florian Zeller signe un huis clos à la fois glaçant et émouvant autour d’un homme atteint de démence sénile, et dont on regrettera seulement le côté un peu sage et lisse.
Après une troisième saison irrégulière, The Crown confirme sa maîtrise et sa classe exceptionnelles en se confrontant avec succès à deux mythes contemporains, Margareth Thatcher et Lady Di.