
« La Maison du diable » de John Darnielle : au-delà du crime
Réflexion sur la création, évocation de l’adolescence comme âge de tous les troubles, « La Maison du diable » se révèle être un roman aussi passionnant que singulier.
Réflexion sur la création, évocation de l’adolescence comme âge de tous les troubles, « La Maison du diable » se révèle être un roman aussi passionnant que singulier.
La Jeanne d’Arc de Guillaume Lebrun mélange dans son style l’ancien français et un franglish pop d’aujourd’hui. Une vraie curiosité et un joli moment de délire que ce roman !
Ricardo Romero crée une superbe galerie de misfits, attachants et romantiques, et nous fait visiter une ville mystérieuse. Il écrit comme on filme. Un roman-film envoûtant.
Avec une forme originale conjuguant aventures fantaisistes et réalisme politique total, Jean-Christophe Portes nous offre une autre réussite divertissante avec ce second tome du Groupe du Manoir.
Le grand écrivain israélien Avraham B. Yeshohua revient avec La fille unique, un nouveau roman qui parle de l’importance de la religion dans nos sociétés et sur la nécessité de penser aux êtres humains, avant tout.
Avec son quatrième roman, Samouraï, l’auteur héraultais raconte les mésaventures drôles et cocasses d’un écrivain qui se cherche et qui (pour notre plus grand plaisir) ne se trouve pas. Du Fabrice Caro pur jus !
Elle nage, un long poème en prose, ou un court roman poétique signé Marianne Apostolides. Une lecture quelque fois exigeante, mais dont on ressort réconforté, rasséréné, réchauffé. Mieux !
Le dramaturge, comédien et chroniqueur Thierry Rocher nous propose un roman émouvant, parfois bouleversant dans lequel un humoriste doit faire face à la mort de sa femme et sa fille unique, tuées dans un attentat.
Pour son 5e roman, Julia Deck imagine une histoire rocambolesque autour d’une vieille gloire du cinéma français. Un récit entre fiction et réalité, dans lequel elle s’amuse avec les genre : parodie, comédie policière, satire sociale… le tout avec pas mal d’ironie.
Anéantir, le dernier Houellebecq, derrière un titre caricatural, s’apparente soit à une nouvelle provocation sophistiquée, soit à un virage dans la trajectoire de l’écrivain français le plus marquant de son temps : un livre presque apaisé, à la fois irrésistible et décevant, dont on espère qu’il suggère un possible renouveau.