
Wonderland, le royaume sans pluie : un film coloré mais sans vie…
Avec son languide Wonderland, Keiichi Hara perd toute singularité et talent en allant errer vainement sur les traces de Miyazaki.
Avec son languide Wonderland, Keiichi Hara perd toute singularité et talent en allant errer vainement sur les traces de Miyazaki.
Avec un quatrième album qui retrouve les qualités mélodiques de leur fameux Tourist History, Two Door Cinema Club effectue une mutation étonnante et pourrait bien retrouver le chemin du succès.
Déception que ce The Operative mal rythmé, auquel Diane Kruger ne parvient jamais à conférer une véritable crédibilité.
Maintenant que la poussière est un peu retombée, et que les esprits se sont calmés, il est temps de revenir sur cette dernière saison de Game of Thrones qui a sans doute plus passionné l’humanité que les crises de Donald Trump ou, pire sans doute, le changement climatique.
De l’Argentine, on connaît finalement assez mal son cinéma « commercial », peu diffusé de ce côté-ci de l’Atlantique : El Hijo, second film du réalisateur du très remarqué El Patrón s’avère une assez jolie réussite dans le registre du film de genre.
Mardi soir au Supersonic, on a pris un gros coup de nostalgie avec les Baby Shakes, un quatuor de punk rock (majoritairement) féminin et new yorkais, qui opère parfaitement dans les règles de l’art.
La troisième partie de La Casa de Papel vient d’être mise en ligne : bonne nouvelle pour ceux qui sont accros et mauvaise nouvelle pour les autres, les défauts et les qualités clivantes des deux premières parties sont toujours là. Peut-être même encore exacerbées !
Nous parlons ici non pas d’un nouveau Jason, auteur norvégien idolâtré par certains (dont nous faisons partie) mais de la réédition chez Atrabile de son premier et remarquable ouvrage, Attends…, datant de vingt ans déjà.
Alors que le troisième volet de sa série à succès Stranger Things vient d’être mise en ligne par Netflix, il est temps de faire un petit bilan sur cet « objet de désir » qui provoque à chaque nouvelle saison bien des débats.
Si l’on attend l’un de ces thrillers politiques tendus qui commencent à fleurir un peu partout, Rojo décevra sans aucun doute. Par contre, comme portrait subtil de la dégradation morale d’une société qui se jette dans les bras du fascisme, le film de Benjamín Naishtat est une réussite singulière.