
« Soudain Seuls » de Thomas Bidegain : l’île noire (et blanche)
Film de survie plan-plan accumulant les stéréotypes du genre, Soudain Seuls se rattrape (un peu) en nous racontant une histoire de crise de couple paradoxale…
Film de survie plan-plan accumulant les stéréotypes du genre, Soudain Seuls se rattrape (un peu) en nous racontant une histoire de crise de couple paradoxale…
Nouvel album en format quasi-acoustique pour le Loner, qui ne faiblit décidément pas ! Rien de vraiment nouveau sous le soleil, si ce n’est de nouvelles versions de titres moins ressassés, donc susceptibles d’attiser l’intérêt du fan de base.
Délice de fantaisie rétro qui s’avère pourtant parfaitement pertinent en commentaire sur notre société de 2023, Mr. Joe Jackson presents Max Champion in What a Racket! réjouira tous ceux qui croient encore en la combinaison de mélodies irrésistibles et de textes bien troussés…
Et voilà pour Noël le film apocalyptique Netflix qu’on a désormais appris à plus ou moins attendre ! Mais cette fois, mauvaise pioche, en dépit de quelques scènes anxiogènes et de la caution Barak et Michelle Obama, le monde après nous n’est guère qu’un pétard mouillé.
Une heure et demi de poésie supportée par un groupe irrésistible, voilà ce que nous a offert hier soir, Anne Clarke, au cours d’une soirée au Café de la Danse qui s’est avérée – de manière un peu inattendue sans doute – particulièrement enthousiasmante !
Après Undercover et le choc de la découverte du personnage de Ferry Bouman, le flashback du Mauvais Camp revenant sur la grande histoire d’amour entre Ferry et sa femme, voici enfin la série qu’on attendait sur le trafiquant de drogues le plus charismatique du Brabant.
Les Lyonnais pop et énervés de Johnnie Carwash nous parlent de leurs influences, mais surtout de tous ces amis artistes, musiciens et groupes qui font aussi, en ce moment, de la France un « pays Rock » !
Après 5 ans d’absence, la Boule Noire a fêté nos retrouvailles avec Great Lake Swimmers, groupe canadien aux compositions magnifiques, mais peut-être un peu trop discret et trop sage pour son propre bien…
Disque de retrouvailles avec un vieil ami quasiment perdu depuis 20 ans, i/o voit Peter Gabriel revenir au style qui fit son immense succès dans les années 80 et 90 : même si les chansons n’ont pas la grandeur d’autrefois, pourquoi refuser le plaisir que nous offre cet album foisonnant ?
Nous sommes passés par tous les états samedi soir au Café de la Danse : du franc optimisme avec les pétillants Ada Oda au sombre désespoir avec la terrible Romy Vager de RVG. Bref, une autre réussite totale du Festival les Femmes d’en Mêlent !