
[Live Report] The Darts et The Jackets au Point Ephémère (Paris) : « Rock’n’roll is fun ! »
Hier soir, la belle soirée garage rock au Point Ephémère, avec The Darts et The Jackets, nous a rappelé cette évidence : « Rock’n’roll is fun ! »
Hier soir, la belle soirée garage rock au Point Ephémère, avec The Darts et The Jackets, nous a rappelé cette évidence : « Rock’n’roll is fun ! »
Perpétuateur enthousiaste d’une certaine idée – britannique – de la pop, Popincourt le bien nommé, revient avec un troisième album, We Were Bound To Meet, qui lui permet de raffiner encore sa musique.
La déferlante australienne se poursuit, avec, cette semaine, les formidables The Murlocs, l’autre groupe d’Ambrose Kenny-Smith (de King Gizzard), qui nous ont offert hier soir le plus beau shot de rock’n’roll de cette rentrée. Un concert quasiment parfait !
On se réjouissait de voir et d’écouter à nouveau – quarante ans plus tard – Chrissie Hynde et ses Pretenders dans une petite salle, mais, en fin de compte, ce n’était sans doute pas si une bonne idée que ça…
Faut-il regarder une autre mini-série Netflix se nourrissant d’un fait-divers criminel et glauque ? Certainement si l’on apprécie Úrsula Corberó (de la Casa de Papel). Probablement pas si l’on espère une œuvre délivrant un minimum de réflexion sur un crime incompréhensible.
Si, à Paris, la Nouvelle Zélande n’est pas à la fête au rugby, l’un de ses plus brillants musiciens, le Bluesman maori Grant Haua est en train de marquer des essais. A quand la transformation ?
Pas meilleure que la première, mais pas moins bonne non plus, la seconde saison de Foundation, adaptation téméraire mais impossible de l’œuvre d’Asimov, commence par ennuyer un peu et décevoir beaucoup, avant de s’élever vers l’excellence…
Belle surprise que ce nouveau disque de Chrissie Hynde paru sous l’étiquette Pretenders, qui la voit renouveler son style, explorer activement des styles musicaux différents, sans doute plus en phase avec ses préoccupations actuelles. Et si on tenait avec Relentless son plus bel album depuis… 1984 ?
On n’aurait pas imaginé que les Américains de She Wants Revenge soient si populaires en France, ni que leur « cold wave » très classique puisse sonner aussi bien : hier soir, au Trabendo, perpétuer une musique vieille de quarante ans a semblé une évidence !
Même si l’âge et les épreuves de la vie ont un peu dilué le goût de Catherine Breillat pour un cinéma scandaleux, il n’est pas sûr qu’on y ait gagné quoi que ce soit, et son l’été dernier provoquera les mêmes désaccords entre admirateurs et contempteurs que ses films précédents.