Les cinq trésors cachés du label Bella Union selon Simon Raymonde
Simon Raymonde, créateur du label Bella Union propose cinq trésors cachés dans un catalogue qui convoque aussi bien l’exigence que l’élégance ou la magnificence.
Simon Raymonde, créateur du label Bella Union propose cinq trésors cachés dans un catalogue qui convoque aussi bien l’exigence que l’élégance ou la magnificence.
Cinquième album du très discret songwriter anglais Bill Fay, Countless Branches n’a pas la flamboyance de Who Is The Sender (2015) mais il en a la même modestie et le même humanisme.
Après avoir sévi au sein des Cocteau Twins, un des groupes dont l’influence ne cesse d’augmenter les années passant, Simon Raymonde est également à la tête d’une des grandes réussites créatives de ces vingt dernières années avec le label Bella Union. Rencontre.
Poursuite de notre entretien avec The Innocence Mission qui sortent See You Tomorrow, leur onzième album studio. Où il sera question d’humilité, de travail, d’intimité et finalement d’un beau moment d’humanité. Retour donc à Karen et Don Peris.
Et si nous partagions un instant précieux avec les américains de The Innocence Mission à la faveur de la sortie de leur onzième disque studio, See You Tomorrow. Echange en deux temps avec Karen et Don Peris.
Retour sur Saigon Would Be Seoul, auteur du splendide Everywhere Else Left Behind sorti juin dernier. Il s’agit du projet solo de Mirza Ramic, moitié du groupe américain Arms And Sleepers. Il évoque dans cette interview la genèse d’une oeuvre de réparation et de catharsis.
Si le nom de l’australien Luke Howard ne vous dit pas grand chose, les choses devraient changer pour ce musicien néo-classique qui a pas mal de spectres musicaux à défendre comme ce superbe The Sand That Ate The Sea.
Si la voix de Rey Villalobos et le folk de son projet House Of Wolves vous brise le cœur, il y a des chances que la pop frissonnante de Ryan Karazija alias Low Roar provoque un même séisme en vous.
Et si Leonard Cohen n’était pas parti en 2016, s’il était toujours bien vivant. Cette magnifique exhumation de titres enregistrés peu de temps avant son décès par son fils Adam sème le trouble.
On peut bien avoir fait partie de Labradford mais continuer sans cesse de se remettre en question, de rebattre les cartes pour mieux réinventer son jeu avec Pan American et cette nouvelle merveille qu’est A Son