Matt Elliott – Farewell To All We Know : Un chef d’oeuvre de fragilité
Avec Farewell To All We Know, l’anglais Matt Elliott nous offre une oeuvre décharnée, à l’os. Une immense réussite pour une discographie déjà parsemée d’œuvres majeures.
Avec Farewell To All We Know, l’anglais Matt Elliott nous offre une oeuvre décharnée, à l’os. Une immense réussite pour une discographie déjà parsemée d’œuvres majeures.
Aprés l’entretien que Mark K Nelson nous a accordé, voici une autre manière de comprendre la magie de A Son, le dernier disque de Pan American en revenant aux sources de son inspiration à travers un 5+5 à la fois un pied dans le passé et l’autre dans l’ailleurs.
Avec Old Vow, une collection de chansons anciennes remises au goût du jour, le britannique Sam Lee impose d’une signature intemporelle des mélodies d’un autre âge.
Les plus curieux d’entre vous avaient peut-être déja repéré l’italien Andrea Laszlo De Simone avec son premier album, Uomo Donna en 2017. Au tour des autres de découvrir son univers large comme une galaxie avec le magnifique EP Immensità.
Avec Dyrholaey, son premier album, le français Thomas Méreur signe un tableau d’une totale délicatesse qui renvoie aussi bien à la scène islandaise qu’à Jan Swerts ou encore Thomas Feiner. Une merveille !
Le duo The Saxophones sort son 2e album. Comment rester dans la constance d’un son sans jamais se répéter, se mettre en danger ? On a échangé de tout cela et de bien plus encore avec les deux intéressés.
Poursuite de notre rencontre avec Mark K Nelson, ancien membre de Labradford et désormais à la tête de Pan American. Où il est question de méditation, d’humilité et d’envie de répit face à une société qui nous assaille.
En novembre dernier, Mark Nelson (ex Labradford) est revenu avec A Son, le disque le plus direct de Pan American. Il nous a accordé un entretien, geste rare dont nous le remercions, ou comment conceptualiser la sensibilité.
Après un long parcours de macération et de maturation, le belge Thomas Jean-Henri alias Cabane sort enfin « Grande est la maison », une collection de chansons miraculeuses incarnées par un casting prestigieux.
Avec The Neon Skyline, Andy Shauf confirme son statut de grand auteur. Ni vraiment une copie de précédent (The Party) ni vraiment un grand bouleversement, cet album est avant tout un bel exemple de l’art de la nuance.