Voyez comme on danse : plaisant mais sans réels enjeux
Michel Blanc offre une suite tardive et un peu superficielle de son film Embrassez qui vous voudrez (2002). Pas forcément utile mais pas désagréable pour autant.
																					
Michel Blanc offre une suite tardive et un peu superficielle de son film Embrassez qui vous voudrez (2002). Pas forcément utile mais pas désagréable pour autant.
																					
Marie Davidson, moitié du duo Essaie Pas, propose un quatrième album aux sonorités 80’s, en forme de critique de la culture dancefloor actuelle, non sans humour et autodérision.
																					
La dessinatrice Coréenne Lee Mekyeoung propose un magnifique livre illustré témoin d’un autre temps, un temps où la vitesse et la précipitation n’existaient pas au Pays du matin calme.
																					
Un Romain Duris épatant dans un premier film d’une justesse inouïe, en dépit d’un double sujet grave, signé du jeune réalisateur Guillaume Senez.
																					
Voici une chronique percutante, narrant le quotidien de deux amis d’adolescence dans leur ville d’Oakland. Leur destin va basculer lorsque l’un des deux va être témoin d’une bavure policière qui va alors hanter sa conscience.
																					
Un remake qui hésite constamment entre le film d’auteur et le film grand public mais qui révèle Lady Gaga comme une véritiable actrice de cinéma.
																					
Le réalisateur Lenny Abrahamson revient avec un film fantastique au rythme lancinant, au scénario aussi poussiéreux que le décor dans lequel il se déroule.
																					
Le duo expérimental berlinois Amnesia Scanner propose une version totalement déconstruite de la musique de club à grands coups de sonorités concassées, abrasives et saturées.
																					
Le Russe Sergei Loznitsa nous propose un portrait fragmenté et acéré de son pays d’adoption meurtri par le joug de la Russie dominante. Un film complexe et éclaté… dans tous les sens du terme.
																					
Malgré ses bonnes intentions, son côté engagé (charge contre le patronat, hommage à Emmaüs…) et un final étonnant, « I Feel Good » peine à convaincre. Un Kervern et Délépine en mode mineur.