
« La Dernière étape », de Guillaume Guéraud : un pur roman d’action
Avec La Dernière étape, Guillaume Guéraud rend un bien bel hommage aux polars où ça canarde, avec un règlement de compte vu par différents personnages.
Avec La Dernière étape, Guillaume Guéraud rend un bien bel hommage aux polars où ça canarde, avec un règlement de compte vu par différents personnages.
Grand Prix de la Semaine de la critique, à Cannes en 2024, Simón de la montaña se présente comme un récit initiatique atypique, rivé au point de vue de son personnage principal. Une œuvre riche et pleine de vie.
Baya Kasmi nous interroge sur le poids des blessures de jeunesse et les choix que l’on fait pour ses propres enfants, au nom d’une liberté qui s’avère illusoire. Un film qui, hélas, déçoit par son scénario faiblard et la platitude de ses clichés.
Même s’il est loin d’être totalement réussi, Sinners ne manque pas d’âme en tant que « film d’auteur » à gros budget.
Avec son roman 34m2, Louise Mey décrit la vie d’une mère seule qui compose avec sa nouvelle maternité et un passé violent, celui dans lequel un homme avait une emprise sur elle.
Quelles visions et quels souvenirs peut-on faire parvenir à l’humanité, en conciliant le passé avec le présent ? C’est en ces termes que 118, Telemly réussit à restituer le cheminement, durant la décennie noire, d’une jeunesse algérienne éprise de culture underground…
Andy Bell travaille comme un forcené et nous livre avec Pinball Wanderer son troisième disque en moins d’un an, sans même parler de son activité scénique. On pouvait craindre l’usure ou l’épuisement, mais ce ne sera pas encore pour cette fois.
Depuis 14 ans, CVantez entretient la flamme musicale et la fièvre des mots, grâce à leur approche singulière : Sourdeval, leur dernier album, en est encore un bel exemple.
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, certainement l’une des pépites les moins connues de la décennie, le Apache / Inca de Craig Smith…
Par ici les beaux jours qui se consument jusqu’à la lente chute du soleil… Et pour nous enrober d’une douceur propice à la rêverie, le disque de Frank Rabeyrolles contient dans son calice des chansons libérant leur pollen, nous offrant une déconnexion avec nous-mêmes et une décoction réparant les liens rompus.