
« Flag Day » : un nouveau ratage pour Sean Penn
Avec le désir de réaliser une production « à l’ancienne », Sean Penn rate son coup, faisant de son Flag Day un film tantôt lourd, mièvre, maniéré… et pour tout dire, assez embarrassant. A oublier.
Avec le désir de réaliser une production « à l’ancienne », Sean Penn rate son coup, faisant de son Flag Day un film tantôt lourd, mièvre, maniéré… et pour tout dire, assez embarrassant. A oublier.
Dans un univers loufoque et absurde, Samuel Benchetrit imagine un film plein de tendresse, de poésie et de non-sens autour d’une pléiade de personnages totalement illuminés, interprétés par un casting haut de gamme !
Patrick Imbert adapte en 2D Le sommet des Dieux, du mangaka Jiro Taniguchi. Une claque visuelle et narrative… l’ambition réussie d’un film sondant à travers l’alpinisme les obsessions intérieures qui nous animent.
Avec Tout s’est bien passé, Ozon passe à côté de son sujet (la fin de vie, le suicide assisté)… Un film surécrit qui n’a pas plus de saveur que celle des plats d’hôpitaux montrés à l’écran. Dommage.
Moor Mother, la productrice musicienne et poétesse de Philadelphie mélange rap, jazz, trip-hop, dans Black Encyclopedia Of The Air, un album aux contours expérimentaux, plus « accessible que les précédents », et qui s’avèrera totalement captivant.
La Troisième Guerre se présente sous la forme d’une chronique réaliste au sein d’une patrouille « Vigipirate » de l’armée française. Un film qui évoque la paranoïa de nos sociétés contemporaines immergées quotidiennement au cœur de cette guerre fantôme.
Le groupe d’Amyl Tyler, qui nous avait déjà impressionné avec un premier album éponyme en 2019, revient à la charge avec un second LP explosif qui pourrait sans doute être la meilleure parution punk de l’année, le tout Made in Australia.
Ecrit en quinze jours, tourné avec très peu de moyens par son réalisateur Nadav Lapid, Le Genou d’Ahed (Prix du Jury à Cannes 2021), bénéficie d’une une mise en scène radicale pour un film, au final, fortement déconcertant.
Une histoire d’amour et de désir, un très beau titre pour un très beau film. Leyla Bouzid raconte avec une grande justesse les premières expériences amoureuses.
C’est un drôle d’objet que nous présente Laurent Lafitte pour sa première réalisation. Intriguant, dérangeant, comique par l’absurde… L’acteur pensionnaire de la Comédie Française adapte au cinéma une pièce de théâtre écrite par Sébastien Thiéry.