« Un Roi sans divertissement » : un inquiétant voyage dans la psyché d’un ami
Il peut apparaître présomptueux d’adapter un roman, aussi dense qu’Un Roi sans divertissement, en seulement 84 pages, fussent-elles illustrées. Pourtant, après l’adaptation de Nez de cuir de La Varende et la biographie de Céline (Le Chien de Dieu), Jacques Terpant et Jean Dufaux peuvent se prévaloir d’une troisième réussite.