Jeudi soir au Supersonic, il y avait les benjamins de Ducks Ltd, en tête d’affiche attendue. L’occasion de voir un jeune groupe prometteur, qui va néanmoins devoir faire évoluer sa formule pour passer au stade supérieur.
Chaque mois, retrouvez 10 albums « coup de cœur » de la rédaction. Pour le mois d’août, la sélection met à l’honneur Ami Taf Ra, Marissa Nadler, Ghostface Killah, Ethel Cain, Scree, Raúl Cantizano & David Cordero, Soulpersona & Bryan Corbett, Jessica Risker, Adrian Lane et Wombo.
Dead Chic est sans aucun doute l’un des groupes « français » les plus prometteurs du moment. Mais sont-il réellement un « groupe français », puisque leur chanteur, Andy Balcon, est anglais ? Et que la musique qu’ils font, très cinématographique, évoque avant tout des déserts et les fantômes de l’Amérique.
On se faisait une joie de retrouver, dans l’atmosphère intime du Supersonic Records, une Ruth Radelet dont on avait gardé le souvenir précieux de son aventure avec Chromatics. Finalement, les retrouvailles ont eu un goût de légère déception. Heureusement qu’avant, le cosmonaute de KNDNS nous a distribué des bonbons Haribo !
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : avec Darkness on the Edge of Town, Bruce Springsteen répond au succès de Born to run en lui offrant un pendant plus noir, dans lequel les rêves des personnages de son disque précédent se transforment en illusions perdues.
Cette semaine, on vous recommande les nouveaux albums de Suede, David Byrne, shame, Big Thief, El Michels Affairs, Anushka, Valentim Frateschi, Critique Love, Grant-Lee Phillips, Yoni Mayraz, La Chooma, SCHØØL…
Ils en ont fait du chemin les garçons de shame depuis Songs of Praise en 2018. Cutthroat, leur quatrième album, est la preuve de l’évolution artistique des londoniens, jamais les derniers pour délivrer leur énergie punk qu’ils déclinent désormais par différents prismes sonores.
Troisième album pour la chanteuse irlandaise Ciara Mary-Alice Thompson alias CMAT, qui confirme son irrésistible ascension vers les cimes d’une pop-folk indie sucrée. Parfois too much, mais passionnément drôle et vivante.
Deux grandes figures américaines se produisaient à Paris, à 400 mètres de distance, en ce mardi de rentrée. Une soirée incontournable, pour les amateurs de folk, de post-rock, de rock « adulte », et de plein d’autres choses…
Publié avant l’été dans l’excellente collection Discogonie des Éditions Densité, le volume consacré à l’album Le Moujik et sa femme, a le grand mérite de nous rappeler que Jean-Louis Murat est bel et bien vivant.