
Herman Düne – Odysseus : Pax americana
Enraciné dans un séjour forcé à Montréal à se recueillir sur la tombe de Leonard Cohen lors de la pandémie, le nouvel album de David Ivar, seul maître à bord d’Herman Düne, ravit encore une fois.
Enraciné dans un séjour forcé à Montréal à se recueillir sur la tombe de Leonard Cohen lors de la pandémie, le nouvel album de David Ivar, seul maître à bord d’Herman Düne, ravit encore une fois.
Revenons sur le passage de Dan Bejar avec son groupe Destroyer, en toute discrétion, au Trabendo, à deux pas d’un Zénith complet pour réécouter un Massive Attack sans actualité discographique.
Soirée écossaise à La Cigale avec le retour de Bobby Gillespie et de Primal Scream, triomphal et inattendu après Come Ahead, premier album paru fin 2024 après 8 ans de silence. Mais peut-on séparer l’homme de l’artiste, devenu icône de la mode à temps partiel ?
En ce jour où tous les regards étaient tournés vers la sortie de More, retour triomphal de Pulp, contre-programmation folk à Petit Bain avec un nouveau festival minimaliste intitulé « Diamond Day », porté par un autre monument du nord de l’Angleterre, Richard Dawson, en tête d’affiche.
En 2025, a-t-on besoin de Pulp, 24 ans après son dernier enregistrement studio ? La réponse est OUI ! Avec More, le groupe réjouit et transforme brillamment l’essai de Spike Island, le single fracassant ayant annoncé son retour. Welcome back !
Entre deux albums de The National, Matt Berninger a enregistré Get Sunk, un second effort solo sans grande surprise mais qui ravira malgré tout et surtout, dans sa deuxième partie.
Laura Veirs était de passage en France, en vue d’un concert spécial à Angoulême avec une chorale le 24 mai, et en a délivré ses douceurs pop-folk au public parisien lors de deux dates intimistes.
David Yow et sa bande sont venus réveiller les morts, et même les vivants, un samedi soir d’une semaine de mai sans pont. Le lézard est sacrément vivant, mais pour combien de temps ?
Soirée bretonne au Trianon avec le retour, et, surtout, la résurrection de Christophe Miossec, revenu d’un cancer de la gorge et pour rappeler à quel point il est précieux à la chanson et au rock français.
Avec Peter Doherty, c’est toujours la même histoire. On ne sait pas trop à quoi s’attendre, et on finit toujours plus ou moins déçu, mais en se disant qu’on l’aime bien, quand même.