« Mayday » de Jean-François Richet : les leçons de Carpenter…
En retenant et en appliquant les leçons de John Carpenter, Richet nous offre avec son Mayday un film de série B efficace et sobre, et donc, quelque part, assez exemplaire.
En retenant et en appliquant les leçons de John Carpenter, Richet nous offre avec son Mayday un film de série B efficace et sobre, et donc, quelque part, assez exemplaire.
Dramatique changement de style pour Jack Ryan, qui chausse ses plus gros sabots tant en termes d’idéologie états-unienne que de forme cinématographique, « à la Michael Bay ». Une horreur…
Cinq mois après sa sortie US, le mastodonte A24 Everything Everywhere All At Once débarque enfin au pays du camembert, précédé d’une hype incendiaire. Dinguerie éreintante ou grand geste de cinéma boulimique ? Les deux, mon capitaine !
Improbable surprise de cet été plutôt riche en films de qualité, Bullet Train est un blockbuster d’action réussi et réjouissant, surtout grâce à ses personnages passionnants et remarquablement interprétés
Rien à faire, à chaque fois les génies de Netflix se plantent quand ils essaient de combattre Hollywood sur son terrain, même le plus convenu ! Et the Gray Man est quand même un plantage à 200 Millions de dollars, ça doit faire mal…
My Name, la série coréenne ultra-violente et conforme aux codes du genre diffusée sur Netflix, pourra divertir, mais ne nous surprendra pas assez pour rester dans nos mémoires…
Dernière apparition pour Daniel Craig avec Mourir peut attendre, une pièce montée sans âme, un opus qui se prend les pieds dans le tapis avec son intrigue alambiquée et dénuée d’intérêt, ses trahisons en cascade et ses morts à la chaîne.
Le rêve a toujours été de regarder un film d’action efficace sans mettre pour autant notre cerveau en veilleuse, et on attend toujours le nouveau John McTiernan. Et ce ne sera pas Joe Carnahan dont le Boss Level, astucieux sur le papier, ne dépasse pas le stade du plaisir régressif.
Si l’on ne rechigne jamais devant un bon film d’action, Sweet Girl échoue malheureusement à remplir son contrat de divertissement de base, par la faute d’une sorte de confusion permanente régnant dans son scénario.
James Gunn reboote la franchise « Suicide Squad » cinq ans après un précédent opus assez calamiteux. Cette fois, moins de sérieux et plus de pop dans un scenario qui se joue des conventions pour multiplier les impasses et les fausses pistes.