« Judy » de Rupert Goold : le choix judicieux de la sobriété
Agréable surprise que ce biopic de Judy Garland, porté par une Renée Zellweger habitée et interrogeant le processus de fabrication d’une identité…
Agréable surprise que ce biopic de Judy Garland, porté par une Renée Zellweger habitée et interrogeant le processus de fabrication d’une identité…
Après la série consacrée à la carrière du sinistre Roger Ailes, ancien patron de chaîne Fox News, c’est au tour du cinéma de raviver les mémoires sur le harcèlement sexuel dont ont été victimes de nombreuses journalistes femmes.
Malgré une belle énergie et un certain savoir-faire dans la reconstitution, Le Mans 66 s’avère bien lourd et convenu dans sa manière de raconter la lutte entre des pilotes de courses et l’industrie automobile.
La musique de Bruce Springsteen a des vertus XXL. Pour Javed le héros principal de Music of my life, les mini-épopées springsteeniennes ont été le déclic pour la prise en main de sa destinée.
Plutôt bien reçu par la critique, les Faussaires de Manhattan déçoit pourtant avec ce portrait assez poussif d’un couple de faussaires has been dans le New York des années 90.
Alors que nous sommes à l’aube d’une multiplication de biopics musicaux, suite au succès assez incompréhensible du médiocre Bohemian Rhapsodie, Rocketman se présente comme une tentative originale, mais guère plus convaincante…
Alors que tous les biopics finissent par se ressembler dans leur trajectoire et leur morale, la première partie de The Dirt, qui raconte l’épopée sordide et pourtant glorieuse de Motley Crüe, laisse un temps espérer un vrai film Rock’n’Roll…
Malgré un tournage compliqué, Bryan Singer signe avec Bohemian Rhapsody un biopic passionnant, aussi intemporel et éternel que Queen et son leader Freddy Mercury.
Aussi acéré qu’une lame, ce Biopic méchamment subversif autour d’un tragique fait divers sportif divertit de façon incisive en contant les débris sur la glace. Wounds and cry…
Avec ce biopic fadasse censé honorer le maître du gay porn art, Dome Karukoski est resté dans des sentiers bien balisés. Tom of Finland, c’est l’hommage sans l’esprit.