
« La Page Blanche » de Murielle Magellan : se réinventer… ou pas ?
Adaptation d’un roman graphique au thème passionnant, la Page Blanche est un film divertissant et aimable. Qui aurait certainement pu être bien plus que ça…
Adaptation d’un roman graphique au thème passionnant, la Page Blanche est un film divertissant et aimable. Qui aurait certainement pu être bien plus que ça…
Cinq mois après sa sortie US, le mastodonte A24 Everything Everywhere All At Once débarque enfin au pays du camembert, précédé d’une hype incendiaire. Dinguerie éreintante ou grand geste de cinéma boulimique ? Les deux, mon capitaine !
Improbable surprise de cet été plutôt riche en films de qualité, Bullet Train est un blockbuster d’action réussi et réjouissant, surtout grâce à ses personnages passionnants et remarquablement interprétés
L’Année du Requin est un surprenant mélange de genres traduisant une démarche audacieuse des Frères Boukherma, qui ne plaira pas à tout le monde, et c’est tant mieux… Rêvons à un « monde d’après » où tous les films français populaires seraient aussi stimulants !
Encore un road-movie français ? Avec tous ses stéréotypes ? Oui… mais En Roue Libre est sauvé par son remarquable duo d’acteurs et une vraie science de la rupture de ton.
Fernando León de Aranoa nous offre une satire croustillante et jubilatoire avec un Javier Bardem incarnant un patron d’entreprise manipulateur et sans scrupules, devant faire face à une accumulation de problèmes mais prêt à tout pour sauver la face.
Film de 90 minutes découpé en épisodes de 10 minutes, Seul face à l’abeille narre le combat dantesque et délirant d’un avatar de Mr. Bean contre un bourdon obstiné. Rires et gêne garantis devant ce bel exemple d’une comédie écrite et réalisée avec soin.
Bienvenue dans le petit monde d’Elsa et Yann, deux trentenaires qui viennent de quitter leurs conjoints pour s’installer en colocation. Une série entre humour et tensions, pleine de sincérité et de tendresse portée par une comédien et une comédienne formidables.
Michel Hazanavicius rend hommage aux séries Z fauchées et décomplexées dans un exercice formel qui joue beaucoup sur le comique de situation. Un film audacieux qui peut se lire aussi comme une nouvelle déclaration d’amour au cinéma.
Pascal Rabaté invite Les Deschiens à la décharge de Groland pour un film foutraque, poétique, génialement bricolo et d’une créativité permanente, où se mélangent également les univers de Tati et de Bruno Dumont. Une belle surprise !