Jenny Finn : un conte macabre délicieusement lovecraftien
Mike Mignola nous convie à un éprouvant périple dans les abîmes d’un Londres victorien, poursuivi par une créature lovecraftienne, un tueur psychopathe et une secte déviante.
Mike Mignola nous convie à un éprouvant périple dans les abîmes d’un Londres victorien, poursuivi par une créature lovecraftienne, un tueur psychopathe et une secte déviante.
Après l’adaptation assez discutable de son fameux American Gods, Neil Gaiman s’est occupé lui-même de la série tirée de son livre Good Omens – coécrit avec Terry Pratchett… pour un résultat paradoxalement pas si différent…
Seconde saison pour American Gods, la série la plus ambitieuse diffusée par Amazon Prime. Avec la répétition des mêmes problèmes que pour la première : pour une série qui fait ainsi du sur-place, on se pose forcément la question de ce qui nous y attache…
Le scénario de Serge Le Tendre datait de 2000, les deux premiers tomes de 2000 et 2003. Puis, vint le temps d’une très longue attente, de la frustration et de l’oubli. Stéphane Servain a repris ses crayons et nous livre enfin la conclusion du triptyque.
Série atmosphérique, énigmatique, agaçante comme fascinante, The OA déploie sur son deuxième opus une folle inventivité créative et narrative. Qui côtoie enfin des sommets inquiétants…
L’histoire d’une fillette qui ne voulait pas grandir et se réfugiait dans un royaume imaginaire, jusqu’au jour où l’affreuse réalité étendit ses ailes noires… Une superbe et envoûtante fable poétique.
Une conclusion en beauté de la fameuse série de « rural fantasy fromagère » au goût de revenez-y, avec jusqu’au bout cette alliance parfaite de burlesque et de merveilleux…
Gabriel Rodriguez n’a pas froid aux yeux en convoquant dans ce premier tome de L’Épée sacrée, qu’il dessine et scénarise, la crème des mythes fantastiques et des grands noms du space opera.
Fausse comédie et vrai labyrinthe psychanalytique, Poupée Russe s’avère plutôt une bonne surprise pourvu qu’on ait envie de se prendre au jeu après un démarrage laborieux…
Joli retour de Dan Gilroy sur Netflix, avec un Velvet Buzzsaw raté mais profondément réjouissant dans sa partie satire du milieu de l’Art : ce que l’on appelle un (semi) échec fécond…