Pataquès s’est spécialisé dans l’absurde. Après les très excellents Fabcaro, Dubuisson ou le duo Duparcmeur et Karibou, l’éditeur nous présente un nouveau duo de « comiques » qui manie l’humour noir avec un certain talent.
Adaptation très réussie du roman de Pierre Lemaitre : un polar amoral à l’humour pince sans rire, noir et délicieusement rétro.
Peut-on rire de tout ? Alors que la Mort est un sujet de plaisanterie amplement exploré dans la série Le Donjon, Sfar et Trondheim n’avait jamais encore oser rire des… impôts ! C’est dorénavant chose faite, avec de 8ème tome de Donjon Parade : L’hostellerie des impôts…
La célèbre pastille Bref revient dix ans après dans un tout nouveau format de six épisodes d’une trentaine de minutes. Un pari audacieux, qui donne une seconde jeunesse à la création de Kyan Khojandi et Bruno Muschio sans en perdre son ADN.
Il nous a fallu encore attendre quatre ans pour voir paraître un nouveau Donjon Parade, mais, aidé du dessin inspiré et inhabituel de Tebo, Le sirop des costauds amorce le grand retour de la série en 2025 !
La série Les Vieux Fourneaux fête son dixième anniversaire ! Et pour fêter ça, nos pépés au passé chargé, toujours aussi verts et hilarants, nous offrent leur huitième opus. Chaud devant !
Après sa désopilante série sur les chefs d’État, Mélénas, Jules César et Napoléon, Karibou s’attaque à la fin du monde. L’apocalypse aura lieu demain à 19 heures précises. Comment allez-vous réagir ?
Bouzard à peine refroidi, aussitôt ressuscité. Winshluss, en bon docteur Frankenstein, a décidé de le ramener à la vie. De façon pas totalement désintéressée, le but étant d’obliger sa créature à entamer la suite de cette hilarante intégrale. Et nous, lecteurs sadiques, de plussoyer l’initiative.
Ami, entends-tu le vol des oiseaux exotiques ? Veux-tu connaître le lien qui les unis à Pole Emploi ? Tu as dit oui ! Heureux sois-tu, ce livre est fait pour toi : laisse-toi emporter par l’imagination débridée d’Antoine Marchalot.
Guidés par Ibn Al Rabin, accepteriez-vous de découvrir la Suisse romande, l’art contemporain et la recette du sbrinz ?