
Django Django – Glowing in the Dark : atteindre enfin le sommet !
On l’attendait depuis 2012 et on n’y croyait plus, mais le voici enfin, cet album (presque) parfait de Django Django que le talent du groupe nous promettait depuis le début !
On l’attendait depuis 2012 et on n’y croyait plus, mais le voici enfin, cet album (presque) parfait de Django Django que le talent du groupe nous promettait depuis le début !
Nouvelle collaboration pour l’Ecossais James Yorkston qui est allé enregistrer ses chansons à Stockholm en compagnie de musiciens suédois. Le résultat c’est The Wide, Wide River, un disque pop-folk magnifique qui confirme plus que jamais le talent d’écriture de ce discret songwriter.
C’est difficile à croire, mais 38 ans après leurs débuts, les Néo-Zélandais de The Bats sont toujours aussi bons. On serait même prêts à juger que Foothills fait partie de leurs tous meilleurs albums…
Le duo Fast Friends sortait en octobre dernier son premier album dans un style indie pop aussi chaleureux que réussi. L’occasion de demander à Julien et Jim de nous parler de leurs goûts musicaux à travers une sélection d’albums de leur choix.
Dead Famous People vient de publier l’album que l’on attendait depuis la fin des années 80 ! Et Dons n’a rien sacrifié de la lumineuse légèreté de sa musique, même si les années ont lui apporté une belle maturité.
Enchantement que cette apparition improbable des Chiens de Faïence de Nanterre, qui reprenne sur leur Fail & Foil à très bon escient les principes de l’indie pop punky et DIY des antipodes.
Sans trop modifier la recette, mais avec toujours cette capacité à composer des chansons pop simples et entraînantes, les australiens de Rolling Blackouts Coastal Fever livrent un second album encore bien agréable, à défaut de nous mettre la fièvre.
Il n’est pas gai d’avoir 20 ans en 2020, entre COVID19 et « Black Lives Matter », et l’exubérante gaîté du premier album des Stroppies laisse place sur leur nouveau mini-album à des atmosphères plus complexes. Aucune raison pourtant de ne pas les suivre avec enthousiasme dans cette phase de transition…
Avec If you’re Dreaming , Anna Burch propose un disque qui hésite entre le soleil et une obscurité perçue avant tout comme rassurante, reflétant parfaitement l’image de la pochette.
Emil Wilk et son projet M.I.L.K nous invite avec Always Summer Somewhere à célébrer l’intemporalité de l’été sur un premier album gorgé de Poptimisme. Une friandise acidulée truffée de pépites colorées et sautillantes.