Excellente surprise malgré un résultat final pas totalement convaincant, Post Mortem : Personne ne meurt à Skarnes est la série norvégienne du moment, traçant un chemin original entre vampires, Six Feet Under et Fargo.
Netflix fait durer le plaisir – et l’impact sur ses abonnés – en divisant la dernière partie de la Casa de Papel en deux volumes, mais ces cinq nouveaux épisodes, se concentrant sur des scènes de guerre interminables, risquent bien de décevoir même les aficionados de la série.
On n’est jamais à l’abri – et c’est heureux – de trouver enfin une excellente série policière sur Netflix : c’est le cas de ce Clickbait, bien écrit et bien interprété, qui ose adresser un sujet ambitieux tels que le manque d’amour dans notre société de plus en plus virtuelle.
Hit and Run n’échappe guère aux poncifs du thriller à l’américaine. S’il reste un divertissement de bonne tenue, c’est avant tout grâce à ses acteurs, qui semblent donner en permanence le meilleur d’eux-mêmes.
Si l’on ne rechigne jamais devant un bon film d’action, Sweet Girl échoue malheureusement à remplir son contrat de divertissement de base, par la faute d’une sorte de confusion permanente régnant dans son scénario.
Sous l’influence de Lynch et Cronenberg, la nouvelle mini-série horrifique mais surtout étrangement originale de Netflix, Brand New Cherry Flavour, vaut finalement bien mieux que la collection de citations qu’elle déploie.
Quelle tristesse de voir le pire du cinéma français inspirer un « auteur » espagnol ! Sentimental est une véritable étude de cas de ce qu’il ne faut pas faire dans un film, et en premier lieu répliquer hors de leur contexte culturel des mécanismes narratifs et des personnages étrangers.
Bien plus intéressante que ce que l’on aurait imaginé, la série polonaise Sexify travaille plusieurs sujets pertinents quant à la libération de la sexualité dans la société polonaise, derrière des stéréotypes un peu faciles.
Troisième et, à priori, dernière saison pour nos lycéens allemands devenus des as de la vente de drogue en ligne sur le darknet. Un petit business qui devient de plus en plus compliqué à gérer dans cette histoire toujours aussi rocambolesque.
Le cinquième et dernier film de la série Rurōni Kenshin adaptée d’un célèbre manga est une petite réussite, malgré quelques limitations, et son statut de « prequel » de l’histoire en fait une introduction parfaite à l’univers des 5 films de Keishi Ōtomo.