
[Netflix] #Alive : confiné par les zombies…
Produit standardisé plus que film coréen, #Alive déçoit en n’explorant pas plusieurs pistes intéressantes ouvertes par son scénario, qui préfère les sentiers battus du film de zombies « à l’américaine ».
Produit standardisé plus que film coréen, #Alive déçoit en n’explorant pas plusieurs pistes intéressantes ouvertes par son scénario, qui préfère les sentiers battus du film de zombies « à l’américaine ».
Charlie Kaufman adapte le roman de Iain Reid tout en préservant ses thématiques et creusant ses obsessions : en résulte un film étrange qui séduit dans sa première heure, puis ennuie dans sa deuxième.
How To Sell Drugs Online (Fast) : la bonne petite série pour ados (mais aussi pour adultes) venue d’Allemagne où un trio de lycéens se lancent dans le trafic d’ecstasy sur le darknet.
Après El Hijo, Sebastián Schindel revient avec les Crimes qui nous Lient, un drame profond, dissimulé derrière une fausse simplicité révélant beaucoup de choses sur la société argentine.
On peut passer une ou deux belles soirées de binge-watching devant le Grand Braquage, une mini-série colombienne plaisante et efficace, respectant tous les codes du film de casse, un genre finalement inusable.
Après son remarquable la Communion, Jan Komasa revient déjà avec une autre description au rasoir de la société polonaise et de ses dérives, pas si loin des nôtres.
Quelles sont les séries les plus marquantes sorties entre janvier et juillet 2020 ? La réponse en 10 chapitres avec des chocs, des nouveautés, des confirmations et des claps de fin… voici les 10 coups de coeur de la rédaction :
Pas de baisse de régime pour Umbrella Academy, cette série malade qui nous parle de paradoxes temporels, de l’impossibilité de la famille et de la cruauté des traumas, et dont la conclusion ne saurait être que cette affirmation désabusée d’un des personnages : »Love hurts! ».
Et si, pour accélérer la prise de conscience des horreurs dont nous sommes tous complices vis à vis des migrants, il fallait une série TV ? C’est en tout cas le défi que relève Stateless, l’impressionnante mini-série australienne diffusée par Netflix.
Snowpiercer est une série tellement mauvaise qu’on ne peut s’empêcher de vouloir comprendre comment on a pu en arriver là, à partir d’une BD légendaire et d’un film fascinant. Tentative d’analyse d’un désastre.