
[Netflix] « His House » : terreur en banlieue londonienne
Jolie surprise que ce His House, premier film (produit par Netflix) de Remi Weekes, qui mélange intelligemment maison hantée et réalisme social bien ancré dans […]
Jolie surprise que ce His House, premier film (produit par Netflix) de Remi Weekes, qui mélange intelligemment maison hantée et réalisme social bien ancré dans […]
On n’attend plus forcément grand-chose du cinéma caricatural d’Olivier Marchal, et pourtant on a tenu à regarder Bronx, son dernier film co-produit par Netflix. Verdict : rien de nouveau sous le beau soleil marseillais !
Il y a trop peu de péplums à peu près réussis sur nos plateformes de streaming, sans même parler des salles de cinéma, pour tordre le nez sur Barbares, la dernière production de Netflix Allemagne, qui évoque la bataille décisive de la forêt de Teutobourg…
Jarand Herdal est un jeune réalisateur visiblement talentueux auquel Netflix a donné la possibilité d’être l’auteur complet de son premier long-métrage… et l’échec frustrant de son Kadaver prouve qu’il aurait dû en confier le scénario à des gens qui savent écrire…
Pour ce deuxième volet de sa série anthologique, Mike Flanagan adapte une nouvelle horrifique de Henry James et offre aux téléspectateurs une magistrale évocation de l’impossibilité des deuils amoureux et des romances perdues.
Difficile de ne pas se laisser convaincre par To the Lake, série TV russe qui dépeint l’effondrement de la société sous la poussée d’un virus particulièrement agressif (ce qui rappelle quelque chose, non ?) et le fait avec un talent… effrayant.
Gros coup de cœur pour cette seconde livraison de 4 épisodes de Criminal : Royaume-Uni, où tous les petits défauts de la première saison ont été brillamment corrigés : de la grande télévision, voire du grand cinéma !
Sur d’excellentes prémisses scénaristiques, avec de bonnes interprètes et une mise en scène réfléchie, les Liens Maudits déçoit dans sa dernière partie en retombant dans les clichés les plus basiques du genre fantastique.
La troisième saison de Marcella tente de transposer les tourments de son héroïne perturbée dans un nouveau rôle et un nouvel environnement, mais finit par retomber dans les mêmes ornières que les deux saisons précédentes.
Adapter le roman noir de Donald Ray Pollock, c’est être capable de patauger dans la fange humaine et d’y briller. Antonio Campos, lui, s’en tient à un film bien fait et bien interprété mais qui ne vibre d’aucun trouble.