Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, Pink Flag, de Wire, opus séminal d’un groupe à jamais atypique.
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, Blank Generation, de Richard Hell, l’un des cris fondateurs du punk.
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, Exodus, l’un des albums les plus universellement reconnus et célébrés de Bob Marley.
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, The Idiot, l’album devenu culte d’Iggy, ressuscité par le Thin White Duke !
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, Low, quand un Bowie fantomatique hante un château français avant de raser le Mur de Berlin…
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, Songs in the Key of Life, « magnum opus » d’un Stevie Wonder alors au sommet de son art et monument encore inspirant aujourd’hui.
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, Ramones, la première page du grand livre du Punk !
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, le premier album de Doctors of Madness, chaînon manquant entre « rock décadent » et punk rock, et grands oubliés de l’histoire du Rock.
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, le monolithe noir de toute discothèque qui se respecte, l’effrayant Godbluff de Van der Graaf Generator !
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, une perle méconnue made in New Zealand, qui prouve que la contribution kiwi au glam rock n’avait rien à envier à celle des anglo-américains.