No Filter – Sans Filtre : coup de boules
Dans le massif de La Chartreuse résonne une synthé-oï à la camaraderie contagieuse. Le premier essai de No Filter, Sans Filtre, enchaîne dix récits remuants.
Dans le massif de La Chartreuse résonne une synthé-oï à la camaraderie contagieuse. Le premier essai de No Filter, Sans Filtre, enchaîne dix récits remuants.
La vie ne sourit guère à Dana Margolin. Mais, on le sait, c’est dans des circonstances difficiles que les artistes sont les plus créatifs : Dana s’est lancé dans Clouds In The Sky They Will Always Be There For Me avec une ambition renouvelée, et le résultat est stupéfiant.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Aujourd’hui : le troisième opus d’un pionnier du shock rock.
Le mot surprise ne va pas forcément à No Name, dernier album de Jack White. Mais ce dernier prouve sans effort que fidélité aux Rock des origines ne rime pas toujours avec naphtaline.
Le quatrième opus de Wine Lips ne renouvèle pas beaucoup leur son, mais capte leur groupe en pleine vitesse de croisière (dans le bon sens du terme), prouvant que son psych-punk énervé n’est pas encore à court de belles choses à nous balancer dans les tympans.
La simple idée d’entendre le chanteur de Lofofora dans un groupe de blues avait de quoi rendre curieux. Néanmoins, l’ultime signe du destin était dans le nom de l’entreprise : Madame Robert.
Un nouvel album de la bonne fée Annie Clark, c’est forcément un événement pour nos petits cœurs de fans. Jamais tout à fait semblable, mais toujours avec une identité singulière, St. Vincent personnifie l’art d’être prévisiblement imprévisible.
Vous aimez quand ça trace vite, fort et bien ? Nous aussi, et Bad Nerves parlent le langage de l’amour pour tous les fans de punk véloce, malin et accrocheur. Dégustation et discussion de la seconde platée de watts de ces jeunes britanniques qui jouent aussi vite que les anciens américains.
Trois sets pour le prix d’un ? Qui serions-nous pour refuser, à plus forte raison quand Alain Johannes et Patrón sont cités dans l’equation ? Nouveau récit d’aventures sonores à Petit Bain, dont le manque de chlore intramuros est compensé par la qualité de sa programmation.
On attendait au tournant l’un des jeunes groupes français les plus excitants que nous ayons vus sur scène ces dernières années. Leur premier album, Don’t Be Boring, est la confirmation que nous attentions : maximum rock’n’roll !