
Sur la route de Memphis avec Theo Lawrence et sa Sauce piquante
Retour du Canadien de Gentilly après le déjà fameux Homemade lemonade sorti en 2018. Le temps passe, l’amour des Etats-Unis reste, pour un nouvel album une fois encore ultra-référencé.
Retour du Canadien de Gentilly après le déjà fameux Homemade lemonade sorti en 2018. Le temps passe, l’amour des Etats-Unis reste, pour un nouvel album une fois encore ultra-référencé.
Baden Baden revient explorer la noirceur, sa nuit intérieure et les nuits dans un album sombre, passionnant, gageure pour un critique : raconter le ressenti diffus qui survient à chaque écoute, mais globalement inénarrable.
J’ai un penchant pour le personnage Liam Gallagher et pour son attitude de connard arrogant du rock. Parce qu’il me semble que, affublé d’une voix idoine, c’est un parfait résumé de ce que doit être le rock britannique : de bonnes mélodies, un son, une attitude, et un chant qui envoie du petit bois.
Qu’une série mette Jim Carrey au générique et tu as, lecteur, des images d’un trublion sautillant en totale roue libre façon Saturday night live. La production le sait. Et se joue de tes attentes dans la série sans doute la plus folle du moment.
This is not a safe place sonne comme le premier album d’un groupe frais émoulu, comme une réflexion globale en 12 titres refusant de choisir entre bruitisme et ballade psychédélique. Ride signe un vrai album de Ride.
Let’s rock propose le neuvième album de The Black Keys. Et de rock il est indéniablement question. Dans la plus directe trajectoire des hits du groupe. Pour un album très/ trop léché, très/trop calibré pour la réussite, très/trop destiné à rassembler et plaire. C’en est presque dommage.
Guitares acérées, son lo-fi, esprit foutraque et je m’en foutiste, un soupçon de cynisme et une grosse dose de cool… Tout y est pour un Freakenstein qui s’installe direct dans mes albums de chevet pour 2019.
Une paire d’années après une entrée remarquée dans le giron du rock en France, le trio parisien Radio Elvis retente le « all-in » sur le tapis vert de la pop.
Dix ans après une première percée dans le flux impitoyable des sorties indé, Erin Moran et Mehdi Zahnnad font cause commune dans un album pop qui n’usurpe pas son patronyme, précis et riche qu’il est, jusque dans ses moindres détails.
« Mouvement » c’est une chevauchée sur les embruns sonores, à la conquête d’une forteresse de granit où vit un sage. Mermonte réussit un carton avec sa livraison de 2018 et remet Rennes au centre de la France musicale.