« La Tresse » de Lylian et Algésiras : adapter un best-seller…
Pas déplaisante, cette adaptation en BD d’un livre éminemment populaire, qui traite de trois destins de femmes entremêlés et ambitionne à nous parler de la sororité.
Pas déplaisante, cette adaptation en BD d’un livre éminemment populaire, qui traite de trois destins de femmes entremêlés et ambitionne à nous parler de la sororité.
Meilleur remède à la nostalgie stérilisante, Late Developers replace Belle & Sebastian au sommet. Inspiré, léger, doux-amer comme on aime, résolument tourné vers l’avenir, voici un album qui ridiculise les tristes adeptes du « C’était mieux avant ! ».
Alors que l’année 2023 de concerts n’a pas encore passé la seconde, quoi de mieux en un samedi soir froid et pluvieux que d’aller prendre une fois encore le pouls du Rock français, qui nous semble péter la santé !
Plus intelligent et pondéré qu’annoncé, les Rascals n’est pas un chef d’œuvre, mais un film pertinent qui nous parle aussi d’aujourd’hui en revenant sur des faits datant de près de 40 ans.
Série policière virant au récit de vengeance, Vengeances n’a rien d’exceptionnel, mais se défend bien grâce à son personnage principal, une croque-mort perturbée entraînée dans un engrenage de violence.
Album après album, même si les Français ne s’en sont pas encore rendu compte, l’ex-frontman de Supergrass construit une œuvre majeure. Turn the Car Around, magnifique, est l’occasion parfaite de rattraper notre retard vis-à-vis de cet artiste exceptionnel.
C’est la reprise pour nous, et si l’année 2023 est du niveau de cette release party du nouvel album de James Yorkston, plus qu’aidé par la divine Nina Persson, elle sera sacrément belle !
Netflix avait sans doute misé sur Kaleidoscope pour démarrer sa nouvelle année en fanfare : c’est raté tant peu de choses fonctionnent dans cette mini-série conceptuelle mal écrite et mal pensée. On vous explique ici (sans spoilers) ce qui cloche…
Si Scott Cooper a toujours été un réalisateur surévalué et irrégulier, il atteint avec cette consternante production Netflix le point le plus bas à date de son « œuvre », qui conjugue scénario ridicule et jeu atone de la majorité du casting qui s’ennuie autant que nous.
Pas de déception pour la seconde saison de Slow Horses, qui poursuit dans la même voie que la première, en approfondissant ses savoureux personnages, et qui réussit une fois encore à éviter la plupart des clichés du genre.