Difficile d’évoquer cette saison tellement belle et forte qu’elle peut se passer de critique. Qu’on adore ou qu’on déteste, ces Leftovers ne laissent pas indifférent et invitent à une vraie expérience sensorielle et sentimentale.
Encore une série policière anglaise, me direz-vous ? Peu importe, c’est ici Ken Loach qui est convoqué dans ce drame social et policier poignant, parfait.
Trajet romanesque d’un homme banal d’Evreux vers le djihadisme le plus sanglant. Troublant, efficace et sans effet ni pathos, Julien Suaudeau évoque avec talent un sujet brûlant.
Déception presque totale et quasi-unanime pour la suite de la série géniale imaginée par Nic Pizzolatto. Analyse d’un étonnant échec en quelques points.
Suite et fin du report d’un des plus grands festivals européens de rock : le Primavera Sound
Retour sur trois jours catalans passionnants, pleins d’émotion mais aussi un peu de frustration, qui prouvent en tout cas que le Primavera Sound de Barcelone est (probablement) le meilleur festival européen de rock.
Entrée remarquée et remarquable d’une petite Australienne dans le monde impitoyable du folk-rock avec un premier album d’une belle facture, à la fois puissant et fragile, empli de tubes sous son humilité apparente. Un déjà classique ?
Diffusées récemment sur Canal +, les deux séries « real politics made in USA » deviennent un miroir à peine déformant d’une réalité qui effraie et fascine ses téléspectateurs. Fiction-réalité : frontière mince pour deux visions différentes de l’empire politique US dans le monde.
Petite revue des séries comiques actuelles : entre faux documentaire hilarant, sitcoms trashy et états d’âme drôlatiques de personnages névrosés, qu’est-ce qui fait sourire ou rire aux éclats cette année à la télé ?
Après son fakir voyageant dans une armoire Ikéa, le facétieux Puértolas récidive avec de nouveaux personnages rocambolesques pour une histoire drôle aux allures de conte enchanté philosophique. Quitte à donner un sentiment de déjà -lu…