Entrée remarquée et remarquable d’une petite Australienne dans le monde impitoyable du folk-rock avec un premier album d’une belle facture, à la fois puissant et fragile, empli de tubes sous son humilité apparente. Un déjà classique ?
Diffusées récemment sur Canal +, les deux séries « real politics made in USA » deviennent un miroir à peine déformant d’une réalité qui effraie et fascine ses téléspectateurs. Fiction-réalité : frontière mince pour deux visions différentes de l’empire politique US dans le monde.
Petite revue des séries comiques actuelles : entre faux documentaire hilarant, sitcoms trashy et états d’âme drôlatiques de personnages névrosés, qu’est-ce qui fait sourire ou rire aux éclats cette année à la télé ?
Après son fakir voyageant dans une armoire Ikéa, le facétieux Puértolas récidive avec de nouveaux personnages rocambolesques pour une histoire drôle aux allures de conte enchanté philosophique. Quitte à donner un sentiment de déjà -lu…
Il aura donc fallu le désir de la chaîne sérielle Netflix de clôturer The Killing d’une courte et intense quatrième saison, pour que cette immense série ne termine pas en queue de poisson et puisse bénéficier d’un achèvement digne. Retour sur une magnifique série plutôt méconnue, et injustement d’ailleurs.
Attendue comme un Messie télévisuel, la nouvelle série de Damon Lindelof (le créateur de Lost) pour HBO (la chaîne productrice de nombreuses séries marquantes de l’histoire TV récente) vient de clore sa première saison. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle intrigue, déconcerte, et fait débattre.
Retour sur le succès-surprise, tant au niveau du public que des prix critiques, du polar sentimental de Joà »l Dicker. A la rédaction les avis sont partagés. « Polar romantico-ronronnant » ou » thriller hautement romanesque » ? A vous de voir…
Ultra-chiadé, ultra-violent, la nouvelle série anglaise « dont tout le monde parle » impose son pouvoir d’attraction / répulsion pour deux saisons fascinantes. Accrochez-vous !
Après Weeds, Jenji Kohan dépeint de la même manière le quotidien d’une prison pour femmes aux USA : violence des sentiments, poésie des situations, portraits de femmes fortes ou brisées avec des actrices singulières et attachantes : du grand art.
Retour (très) personnel sur ce qui fait la force et la singularité de cette épopée fantastico-médiévale. Singulière et atypique donc, au point de peut-être laisser le téléspectateur de côté…