« Warm Computers », le cocktail énergétique du duo AWARDS
Mélangeant joyeusement pop, rock, sonorités électro cheap, krautrock et hip hop, le duo AWARDS nous offfre un petit concentré d’énergie et de vitalité, s’affranchissant de toute étiquette.
Mélangeant joyeusement pop, rock, sonorités électro cheap, krautrock et hip hop, le duo AWARDS nous offfre un petit concentré d’énergie et de vitalité, s’affranchissant de toute étiquette.
Comédie sans surprise mais plutot sympathique, Les bonnes intentions fera à coup sûr un bon petit film du dimanche soir.
Il y a dix ans, une étoile s’éteignait dans le ciel de l’élégance, Yves Saint Laurent. A l’occasion de cet anniversaire, Bertrand Meyer-Stabley et Lynda Maache font revivre ce prince de l’ombre qui mit si bien les femmes dans la lumière.
Pour son deuxième film, Kheiron (acteur et réalisateur) propose une fiction imparfaite mais hautement sympathique dont les qualités sont aussi nombreuses que les défauts.
Le musicien canadien Ian William Craig s’inspire de la physique quantique, des trous noirs et de l’espace infini pour créer un album d’ambient drone experimental, totalement saisissant.
Chronique du quotidien de deux familles vivant en autarcie, au milieu de la Sibérie orientale, en pleine taïga, à 700km du moindre village, Braguino évoque un western moderne.
Samaria ou Poetry, le cinéma sud-coréen est hanté par les suicidées adolescentes. Nouvelle pierre à cet édifice mortifère, voici After my death. Glaçant.
Sur un sujet grave, Andréa Bescond et Eric Métayer proposent avec Les chatouilles un film fort, lumineux et nécessaire en dépit de quelques maladresses.
La cinéaste Italienne Alice Rohrwacher propose avec Heureux comme Lazzaro un film politique en forme de conte sur le pouvoir des classes, à travers la trajectoire d’un ange en tricot. Bancal mais attachant.
Le dilettante publie un recueil de trois nouvelles signées Jean Dutour fustigeant ceux qui croient trop facilement les idéologies et croyances préfabriquées.