
Bonobo – Migration
Avec Migration, Bonobo signe peut-être son meilleur album. On y trouvera une douzaine de titres captivants et fragiles, habités d’un groove subtil.
Avec Migration, Bonobo signe peut-être son meilleur album. On y trouvera une douzaine de titres captivants et fragiles, habités d’un groove subtil.
Révélation de 2016 et grand espoir du rap féminin, la canadienne Tasha The Amazon s’impose avec un mini album aux sonorités urbaines d’une densité remarquable.
Et vous, que feriez-vous si le pire arrivait au soir du second tour des prochaines élections présidentielles ? Comme David, erreriez-vous dans les rues dévastées par le peuple révolté ? Ou comme Mina embarqueriez-vous sur un cargo pour ne pas assister à cette déchéance de la nation ?
Un film un peu long à la narration inutilement éclatée, qui réserve de belles séquences mais également des scènes plus laborieuses chargées lourdement de sens.
Comme une déclinaison épurée et ambient de Bibio, l’américain Botany propose un nouvel album organique aux contours psychédélique et mystiques.
Loin des codes hagiographiques du biopic, le chilien Pablo Larrain propose une relecture brillante et littéraire d’un épisode de la vie du poète et sénateur Neruda.
Le duo Fely et Louvet propose un film âpre et lumineux, aux allures de « Land and Freedom médiéval », où la figure du saint italien disparait derrière un humain pétri de doutes.
Plus modeste et moins fantomatique que son opus précédent, « Only Lovers Left Alive », le nouveau film de Jim Jarmusch déploie néanmoins avec la même classe une mise en scène fluide et aérienne.
Monnot part en bateau (pirate) avec Marc Morvan. Le voyage s’annonce beau et grand à l’image de cet album pop folk signé d’un des meilleurs songwiters français actuels.
Un 21ème Volume de Life is a Minestrone avec la voix sublime de Nick Austin, le folk aérien de Bloom, les déflagrations pop de Merk et Jonas Nicholls et en bonus un morceau obscur de l’écossais Teri Mcmillan datant de 1975