
Arhios – Miscible : odyssée sonique
Arhios fendent les flots sonores avec une impressionnante maîtrise sur Miscible, premier album réussi pour le trio rennais qui met le cap vers l’excellence.
Arhios fendent les flots sonores avec une impressionnante maîtrise sur Miscible, premier album réussi pour le trio rennais qui met le cap vers l’excellence.
Au menu de la Gonzaï Night de ce mois de mars, les inclassables de Foncedalle et le post-punk vigoureux de Tramhaus, ou de quoi prendre un sérieux plaisir à découvrir les visages de ceux qui commencent à embraser les fosses.
On pouvait en attendre beaucoup de Son Lux, mais divers problèmes techniques et un choix de titres perfectible n’ont pas permis à leur musique d’atteindre les sommets auxquels elle peut prétendre.
Si le décès de Dave Greenfield avait pu laisser planer un doute sur la poursuite des activités des excellents Stranglers, leur récent passage à Paris a rassuré les fans : le groupe reste impeccable, sans parler de l’humour provocateur de Burnel et des occasionnelles bagarres dans la salle…
Une tempête est passée hier soir sous le chapiteau du Cabaret Sauvage. Shame ont tout retourné sur leur passage en livrant une performance déchaînée et largement à la hauteur d’une discographie qui ne cesse d’épater.
« Fuzz et Pamplemousse », ça sonne comme la recette d’un bon cocktail rock festif, et c’est à peu près l’ambiance qui régnait hier soir au Trabendo : du fuzz à foison et un rock acidulé juste comme il faut ; en bref, une explosion savoureuse et furieuse !
Miguel Vila, chroniqueur acide d’une jeunesse perdue quelque part entre la morne banlieue padouane et la modernité des relations numériques, trouve ici l’image juste : celle d’une jeunesse orpheline qui ne sait décidemment plus à quel « sein » se vouer.
Les Londoniens de Ulrika Spacek signent un retour réussi avec Compact Trauma, un condensé stupéfiant de sonorités disparates et dissonantes agencées en de subtiles mélodies, tout à la fois délicates et salissantes.
Quoi de mieux que le militantisme d’Algiers pour clôturer une journée de grève ? C’était à Petit Bain qu’il fallait se rendre pour voir à l’œuvre un groupe qui n’en finit pas de transgresser les frontières.
Qu’est-ce que c’est DIRK. exactement ? Tout est dans la typographie du nom : quatre Belges qui jouent fort, sans pause, le tout en une formule harmonieuse et concentrée.