En 1969, les Pink Floyd livreront une très belle B.O. de film (More) et un album concept étonnant. La Bande à Waters enterre définitivement la période Syd et sa Pop Psyché, et s’aventure, par la même occasion, sur les chemins périlleux de la musique expérimentale.
En 1968, malgré les nombreux problèmes que les tout jeunes Pink Floyd doivent endurer, ils mettent en chantier leur deuxième album. Mais au fil de l’écoute, il se dessine autre chose : un autre style, une nouvelle direction.
En 1967, les Pink Floyd lâchaient leur premier album et le mètre-étalon de ce Rock psychédélique si ancré dans l’époque. Syd Barret est le grand gourou de ce premier jet Floydien et va créer ce premier style Pink Floyd à base d’errance spatiale et comptines enfantines.
Terry Hall nous a quittés à l’âge de 63 ans. Retour sur le vent de fraicheur que fut l’explosion Ska dans une Angleterre Thatchérienne en pleine crise sociale et identitaire. The Specials eront les fers de lance de cette Second Wave Ska, avec un apport musical incontestable.
Le Ty Segall nouveau est arrivé ! et c’est encore un très bon cru. Ty range la disto au placard et revient, comme en 2013 avec l’excellent Sleeper, investir la Folk. Une Folk rugueuse, pleine d’aspérités, d’arêtes tranchantes
Après 5 ans d’attente, le gamin surdoué de Brooklyn, Joey Bada$$, revient avec un nouvel album et récupère instantanément la couronne tant convoitée de l’East Coast Rap. Un petit bijou de ce New Old School Rap dont il est le meilleur représentant.
Le Festival de Carcassonne se refait une santé et accueille une légende du Rock : Jack White. Un show splendide entre Punk, Rock et Folk. Un passage en revue bleu électrique de la riche carrière du gamin de Detroit sur la superbe scène du théâtre Jean Deschamps.
Le premier album des Avignonnais de Caravan Motor vient rajouter de la chaleur à la canicule en balançant un pur Stoner made in Vaucluse, un Hard-Rock brûlant et poussiéreux comme une putain de route du désert texan.
Un Groove estival ultra efficace qui te donne envie de lâcher ton verre de rosé pour aller te trémousser sur la piste de danse de ton camping préféré…Mais pas que ! Un album étonnant, plus profond qu’il n’y paraît, qui se déguste les pieds dans l’eau…
En abandonnant son genre de prédilection – l’Électro-Pop – Metronomy se réinvente en douceur en désossant leur Pop, la mettant à nue en lui ôtant tous ses artifices et s’offre dans une légèreté salvatrice une splendide renaissance. À découvrir.