
[Disney+] Extraordinary : les super-héros hilarants du quotidien…
Détournant franchement et avec malice les codes des films de super-héros et du « teen movie », la série anglaise fait mouche. En cinq points, pourquoi regarder « Extraordinary » ?
Détournant franchement et avec malice les codes des films de super-héros et du « teen movie », la série anglaise fait mouche. En cinq points, pourquoi regarder « Extraordinary » ?
Très belle surprise que ce Freaks Out ! Un film foisonnant qui déborde d’énergie et de poésie et qui parvient à mêler dans un magnifique maelstrom de sensations, l’humour, l’action, la violence, la poésie, le fantastique, le grotesque et l’émotion.
James Gunn reboote la franchise « Suicide Squad » cinq ans après un précédent opus assez calamiteux. Cette fois, moins de sérieux et plus de pop dans un scenario qui se joue des conventions pour multiplier les impasses et les fausses pistes.
Même si la dynamique fonctionne plutôt bien par moment, Kaamelott reste une une grosse machine fragilisée par ses enjeux d’écriture et malmenée par une mise en scène peu inspirée, laissant un goût d’inachevé pour une œuvre censée se présenter comme un aboutissement.
Relecture de Peter Pan en mode indie, Wendy reprend clairement les codes qu’avait mis en place Ben Zeitlin dans son premier long métrage Les bêtes du sud sauvage en 2012 : regard d’enfant, musique, fougue débordant du cadre pour nourrir une aventure lyrique et fantastique.
Excellente surprise, dans le registre dangereux du divertissement familial, que ce Sweet Tooth, adaptation soignée et donc réussie d’un comic book post-apocalyptique au sujet pourtant peu original.
Petite réussite dans le genre exsangue du divertissement familial, Love and Monsters se regardera avec plaisir, et pourra même nous encourager à ne pas nous replier sur nous-mêmes face à l’adversité. Pas si mal…
Entre un cinéma populaire à la Francis Veber et les comédies barrées d’Antonin Peretjatko, le premier film du duo Hugo Benamozig / David Caviglioli propose un divertissement convenu mais tout de même assez plaisant.
Mal compris et mal aimé à sa sortie sur les écrans en 1977, le Convoi de la Peur coula la carrière hollywoodienne du grand William Friedkin… pour devenir, sous son titre original de Sorcerer, une sorte de film-culte des cinéphiles…
Triple Frontière, aurait dû voir le retour aux affaires du réalisateur J.C. Chandor, qui porte certains de nos espoirs depuis son Margin Call. C’est loupé… et dans tous les sens du terme !