Secrètement, notre monde est envahi. Laissez-vous initier par Nicolas Kéramidas à la découverte de ces vaisseaux extra-terrestres qui ont mystérieusement atterri sur les murs de nos cités.
Second volume du roman graphique japonais Valse à 3 sœurs, et l’enchantement continue, alors que Melome Machida explore d’autres facettes de la vie quotidienne et des rêves de nos trois orphelines.
Après le lumineux Leonard Cohen, Philippe Girard nous propose la biographie d’un second canadien, un ingénieur de l’armement surdoué au destin tragique.
Chronique visuellement superbe et toujours passionnante de la création d’Apocalypse Now, un tournage en enfer échoue malheureusement à être lui-même un chef d’œuvre de la BD, mais reste un ouvrage essentiel pour tous les cinéphiles.
Chronique ultraréaliste mais distanciée de deux expéditions désastreuses en Arctique, No limit offre une approche conceptuelle de la survie « en milieux hostiles », et confirme que Luke Healy est l’un des auteurs contemporains de BD les plus prometteurs.
Si la violence faite aux femmes est une réalité qu’il faut dénoncer, celle-ci prend son fondement dans la façon dont l’homme perçoit la femme socialement, un état de fait où cette autre forme de violence, non physique, n’en est que plus pernicieuse. Avec ce témoignage sensible et personnel, Kate Beaton brise le silence.
Après le film et la BD humoristique, le manga ! Soucieux de créer une œuvre populaire, Alexandre Dumas aurait probablement aimé voir son roman adapté de la sorte.
Bonne nouvelle, Gilles Rochier et Fabrice Erre explosent en couleurs Les Trois Mousquetaires, c’est drôle et seulement en deux tomes !
Connu principalement comme seul coloriste, Baptiste “Bonaventure” Corteggiani écrit, dessine et colorise ce bel album, imprégné de luttes sociales et de collapsologie, qui voit un trio de jeunes filles s’opposer à un Etat totalitaire dans un monde en perdition.
Suehiro Maruo, le maître de l’eroguro – l’association du gore et de l’érotisme – nous plonge dans les horreurs de la guerre, pas celles du front, mais celles, plus terribles encore, de l’arrière.