
[Ciné Classique] Un chien andalou : l’ingéniosité formelle de Luis Buñuel
Coup de projecteur en trois axes sur Un chien andalou, surréaliste court-métrage expérimental qui a enrichit l’histoire du septième art de manière tranchante.
Coup de projecteur en trois axes sur Un chien andalou, surréaliste court-métrage expérimental qui a enrichit l’histoire du septième art de manière tranchante.
La ressortie en salles du second film de l’immense David Lynch, le fameux Elephant Man permet de se poser avec le recul la question du rapport du réalisateur avec la forme classique du Cinéma.
En 1981, sortait sur les écrans français La Soupe aux choux. Nanar absolu pour les uns, film à tout jamais culte pour les autres, cette adaptation du roman de René Fallet est surtout une ode à la France de la farce et du bon vivre.
Comme le gong de la réouverture des salles a retenti, rien de tel qu’un coup de projecteur en trois axes sur Nous avons gagné ce soir de Robert Wise, un classique pugilistique du film noir.
Juste avant la réouverture tant attendue des salles obscures, retour vers le passé à travers un coup de projecteur en trois axes sur La Fureur de vivre, pour redécouvrir ce film culte qui met si bien en lumières les maux de la jeunesse.
Mal compris et mal aimé à sa sortie sur les écrans en 1977, le Convoi de la Peur coula la carrière hollywoodienne du grand William Friedkin… pour devenir, sous son titre original de Sorcerer, une sorte de film-culte des cinéphiles…
Alors que le prochain film de Thomas Vinterberg, le prometteur Drunk, vient de recevoir le label « sélectionné au Festival de Cannes 2020 », coup de projecteur en trois axes sur Festen, film coup de poing qui avait secoué la croisette lors de l’édition 1998.
En 1960, on n’attendait pas de Clouzot, perfectionnisme obsessionnel, un tel hymne à la vie, juste avant l’éclosion de la Nouvelle Vague. La Vérité est un chef d’oeuvre du cinéma français, à voir et revoir sans s’en lasser, pour également se souvenir de la lumière qu’irradiait la jeune BB…
En 1997, Takeshi Kitano – encore inconnu en occident – remportait le lion d’or de la Mostra de Venise avec son 7 ème film: Hana-bi. Avec Hana-bi, Kitano-san parvient à canaliser son style, à affiner ses obsessions en ciselant son cinéma et les thématiques qui lui sont chères ( peinture, gunfights, jeux de plage et bien d’autres)
Coup de projecteur en 3 axes sur Freaks de Tod Browning, film maudit devenu culte, pour redécouvrir toute la puissance de l’une des œuvres les plus marquantes de l’histoire du septième art.