
Never Rarely Sometimes Always : la loi des hommes
« Petit » film indépendant questionnant la liberté de la femme dans la société, Never Rarely Sometimes Always nous convainc grâce à quelques très belles scènes et à ses deux actrices étonnantes.
« Petit » film indépendant questionnant la liberté de la femme dans la société, Never Rarely Sometimes Always nous convainc grâce à quelques très belles scènes et à ses deux actrices étonnantes.
On ne voit jamais assez Russell Crowe, c’est certain ! Mais est-ce vraiment une bonne raison pour s’infliger Enragé, ratatouille prévisible composée de morceaux de Duel et de Chute Libre ? Rien n’est moins sûr !
Après son remarquable la Communion, Jan Komasa revient déjà avec une autre description au rasoir de la société polonaise et de ses dérives, pas si loin des nôtres.
Peut-être parce qu’elle venait dans la foulée du succès de Big Little Lies, la mini-série Little Fires Everywhere n’a pas encore reçu l’attention qu’elle mérite, du fait de la complexité de la vision familiale et sociétale qu’elle propose.
Qui ira voir l’Infirmière en espérant un thriller sera certainement déçu, alors que Fukada nous propose une nouvelle tragédie sociale mise en scène avec une précision époustouflante.
Casey Affleck imagine ici un monde séparé de ses femmes et trouver la note adéquate pour composer un film sans excès de pathos, mais avec une austérité qui fait sens et parvient, avec justesse, à nous émouvoir.
Unanimement célébré, The Climb est l’un des événements du cinéma indépendant de cet été. Si la démarche de ses auteurs est formidablement originale, on peut avoir du mal à adhérer au systématisme de l’approche aussi bien qu’au discours assez misogyne du film.
C’était clairement une fausse bonne idée que de faire un remake fidèle du remarqué – mais pas exceptionnel – la Isla Minima, en le transposant en Allemagne…
Après le choc que fut la découverte de Chained, la semaine dernière, Beloved se montre nettement moins convaincant, même si la démarche de Yaron Shani reste passionnante…
Comme le gong de la réouverture des salles a retenti, rien de tel qu’un coup de projecteur en trois axes sur Nous avons gagné ce soir de Robert Wise, un classique pugilistique du film noir.