
Un été en BD avec BENZINE : une sélection de 10 titres
À l’approche des congés estivaux, les chroniqueurs BD de Benzine vous proposent leur sélection d’ouvrages à déguster au frais. Des lectures « détente » comme il se doit !
À l’approche des congés estivaux, les chroniqueurs BD de Benzine vous proposent leur sélection d’ouvrages à déguster au frais. Des lectures « détente » comme il se doit !
La bande dessinée sait aussi bâtir des ponts entre cultures différentes, la preuve avec ces onze artistes qui nous livrent le meilleur de leurs rencontres et de leurs découvertes. Un véritable chant d’amour pour la Guyane, son fleuve et ses peuples.
Nominé dans la dernière sélection officielle d’Angoulême, cet album de Berbérian sans son binôme Dupuy a pourtant souffert d’un manque de visibilité. Nous étions donc curieux de découvrir à quoi cette échappée mythologique pouvait ressembler…
Alors qu’on s’approche de la célébration des 50 ans du mouvement punk, dont l’impact sur la musique et sur la mode et le design reste visible de nos jours, Malcolm McLaren – L’Art du désastre revient avec brio sur l’histoire et sur la personnalité tourmentée de l’homme par qui le chaos advint.
Comment un acteur sans emploi peut-il devenir d’un jour à l’autre un candidat de l’extrême droite ? Comment les mots vides de sens et pleins de haine de nos aspirants dictateurs peuvent-ils séduire la France en 2022 ? Ulysse Nobody nous raconte cette histoire terrible. Et bien de chez nous.
Avec Semences, Ann Nocenti et David Aja nous immergent dans une angoissante dystopie où la Terre et l’humanité se meurent. Un récit ciselé à la fin surprenante.
Et voici le top BD 2021 tant attendu ! Nos chroniqueurs ont dû se livrer à un véritable marathon pour pouvoir boucler cette sélection, tant l’année fut riche en productions de qualité.
Formidable sujet de fiction, loin d’être épuisé, les Beatles retournent, par la magie de l’imagination de Bourhis et du dessin de Solé, à Liverpool, et même à… Abbey Road ! Nous sommes en 1980. Mais sommes-nous réellement en 1980 ?
Il peut apparaître présomptueux d’adapter un roman, aussi dense qu’Un Roi sans divertissement, en seulement 84 pages, fussent-elles illustrées. Pourtant, après l’adaptation de Nez de cuir de La Varende et la biographie de Céline (Le Chien de Dieu), Jacques Terpant et Jean Dufaux peuvent se prévaloir d’une troisième réussite.
Après la partition de la Corée au début des années 50, des milliers de familles furent brisées. Une douleur rare, silencieuse, superbement évoquée dans ce récit délicat et poignant de Keum Suk Gendry-Kim.