
Tiens, écoute ça ! : « Hallelujah » par John Cale
Aujourd’hui, Tiens écoute ça ! vous parle de la meilleure version à date du (faux) « classique » de Cohen, Hallelujah : il s’agit bien entendu de celle que nous a offerte John Cale !
Aujourd’hui, Tiens écoute ça ! vous parle de la meilleure version à date du (faux) « classique » de Cohen, Hallelujah : il s’agit bien entendu de celle que nous a offerte John Cale !
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : le troisième album de Leonard Cohen, et l’un de ses plus beaux, Songs of Love and Hate.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Fin 1967, Songs of Leonard Cohen est un album totalement à contre-courant par rapport à tous les autres chefs d’œuvre produits cette année-là. Et pourtant…
Dans la belle collection des Editions du Layeur, le Leonard Cohen de Belkacem Bahlouli arrive à point pour les cadeaux de fin d’année : un bel objet, où manque seulement ce petit « plus » d’émotion dans les textes, qui aurait mieux traduit notre amour pour le poète disparu.
Reprendre les chansons de Cohen est la chose la plus facile au monde, grâce à l’évidence des mélodies et la force des mots. C’est aussi la plus difficile, car que peut-on apporter à une œuvre aussi colossale ? H-Burns s’est posé la question et a choisi la voie de la fidélité.
Pour qui aime Cohen, la lecture de Leonard Cohen – Sur un fil est un « must » : voici un biopic en BD sur l’un des plus grands artistes du siècle dernier qui se dévore, qui génèrera une multitude d’émotions en nous, et on ne s’en plaindra donc pas… même si l’ouvrage définitif sur Cohen reste encore à écrire.
On a demandé au groupe Under The Reefs Orchestra et plus précisément au compositeur et guitariste Clément Nourry de nous donner ses 5 albums du moment et de toujours.
Grand cru musical que cette année 2019, avec tout en haut : Nick Cave, Tyler The Creator, Michael Kiwanuka, Vampire Weekend, Aldous Harding, Leonard Cohen, Kompromat, Pan American, Fontaines DC. et Jérôme Minière.
Et si Leonard Cohen n’était pas parti en 2016, s’il était toujours bien vivant. Cette magnifique exhumation de titres enregistrés peu de temps avant son décès par son fils Adam sème le trouble.
Avec « You Want It Darker », Leonard Cohen s’avance à nu dans son costume acoustique et hésite entre le constat glaçant et l’œuvre testamentaire. Peu importe la réponse, c’est avant tout un immense disque du monsieur.