
[Netflix] My Name : sympathy for lady vengeance.
My Name, la série coréenne ultra-violente et conforme aux codes du genre diffusée sur Netflix, pourra divertir, mais ne nous surprendra pas assez pour rester dans nos mémoires…
My Name, la série coréenne ultra-violente et conforme aux codes du genre diffusée sur Netflix, pourra divertir, mais ne nous surprendra pas assez pour rester dans nos mémoires…
Avec Le bureau des affaires occultes, Eric Fouassier nous offre un récit historique hautement romanesque qui nous mène sur les traces d’un jeune inspecteur de police dans un Paris plutôt tourmenté. Une lecture à la fois captivante et éclairante.
BAC Nord aurait pu être un grand film, créant le lien, parfait, entre L.627 et Les misérables. Il n’est finalement qu’un bon polar made in France, sans nuance dans son approche psychologique et dramatique…
Oui, au milieu de tombereaux de films de genre très ordinaires que les plateformes déversent sur nous, il y a des bonnes surprises, comme le beau « mélodrame à twists » qu’est The Soul, un étonnant petit film taiwanais.
Encore un recueil de nouvelles formidables de la part de l’immense Stephen King, dont la forme olympique actuelle défie littéralement l’entendement : finalement le plus fantastique là-dedans, c’est l’auteur !
Avec la mise en ligne sur OCS de la quatrième enquête de C.B. Strike, notre nouveau limier préféré, Blanc Mortel, nous avons rattrapé notre retard sur l’Angleterre : quatre épisodes romantiques en attendant la suite, prévue pour la fin de cette année…
On ne croyait pas forcément J.K. Rowling capable de créer une série – en livres puis en téléfilms – aussi impeccable que CB Strike, mélange improbable de whodunit très british, de film noir et de comédie romantique : on tire notre chapeau !
Après deux premières saisons très intéressantes de par leur approche originale – plus psychologique que policière – d’enquête criminelles, The Sinner s’égare dramatiquement dans une intrigue mal ficelée et peu crédible.
Après une première saison très séduisante, Undercover déçoit un peu avec une nouvelle aventure de son flic infiltré, qui a tendance à ronronner et qui se voit privée cette fois d’acteurs vraiment charismatiques.
Gros coup de cœur pour cette seconde livraison de 4 épisodes de Criminal : Royaume-Uni, où tous les petits défauts de la première saison ont été brillamment corrigés : de la grande télévision, voire du grand cinéma !