Kid Kapichi – There Goes The Neighbourhood : les Zombies à Albion.
Arrivant après une paire d’albums enragés, There Goes The Neighbourhood montre un Kid Kapichi trop inégal et dispersé pour convaincre totalement.
Arrivant après une paire d’albums enragés, There Goes The Neighbourhood montre un Kid Kapichi trop inégal et dispersé pour convaincre totalement.
Comment (et pourquoi, aussi) être « punk » en 2024 ? La réponse – ou tout au moins des éléments de réponse – ont été généreusement donnés hier soir à la Maro par SNAYX et Kid Kapichi.
Immense joie que ces retrouvailles scéniques avec l’un des groupes « punks » (mais pas seulement…) US les plus intéressants de ces dernières années, The Menzingers, qui ont littéralement mis le feu au Backstage By The Mill : une fête dont on est tous sortis avec le sourire…
Animé par la douleur du deuil, Little Rope est certainement le meilleur album de Sleater-Kinney depuis The Woods, quoiqu’en disent les vieux fans qui n’arrêteront jamais de pleurer le départ de Janet Weiss. 34 minutes aussi furieuses que mélodiques, à côté desquelles il ne faut pas passer !
Tous ceux à qui les merveilleux Replacements manquent ont depuis quelques années une solution de rechange – toute proportion gardée : The Menzingers, un groupe de Pennsylvanie étiqueté « punk », qui en est déjà à son huitième album, et qui vaut clairement la peine qu’on lui prête l’oreille !
Cela fait un moment qu’on entend parler de Sprints, groupe dublinois qui aurait dû profiter de la vague créée par la célébrité de leurs collègues de Fontaines DC ou The Murder Capital. Il aura pourtant fallu attendre 5 ans avant de pouvoir écouter leur – énorme – premier album : l’attente n’aura pas été vaine !
John Lydon et son PiL méritaient bien un second live report sur Benzine : voici donc le compte-rendu du concert de Strasbourg, où Lydon n’a pas failli non plus à sa réputation et s’est montré généreux en revisitant son répertoire garni de vieux tubes.
Huit ans que John Lydon et son PiL n’étaient pas passés à Paris, d’où le plaisir de ces retrouvailles intenses, vendredi soir dans un Trianon en mode « célébration » d’un monstre sacré. Et oui, en 2023, la colère reste une énergie !
Avis aux amateurs de punk saignant et de hard rock à bière : Ne ratez surtout pas The Baboon Show sur scène dans nos contrées durant les prochains jours. Si le nom vous est inconnu, il est encore temps de rattraper leur dernier opus, sorti en tout début d’année.
Vendredi soir, au Supersonic, on a dansé le folklore des Appalaches et on a ondulé comme dans un bouge de l’époque de la Prohibition, avec les excités de The Bridge City Sinners : ce fut assez épique, et même très beau parfois.