
[MAX] « The Last of Us – Saison 2 » : plus un OVNI…
Inévitablement moins époustouflante que la première, cette seconde saison de Last of Us alterne des hauts et des bas, mais, au moins, ne nous fâche pas avec la série…
Inévitablement moins époustouflante que la première, cette seconde saison de Last of Us alterne des hauts et des bas, mais, au moins, ne nous fâche pas avec la série…
L’une des plus belles chansons jamais écrites et interprétées par les Frères Mael, Never Turn Your Back On Mother Earth. Qui pourrait être une chanson écologique avant l’heure, ou, à leur manière habituelle, quelque chose de complètement différent.
Démarrant comme une excroissance inspirée des films de body horror de Cronenberg, mâtinée de « boy meets girl » à la française, Else décolle vertigineusement pour nous emmener… AILLEURS : une expérience aussi inspirée que profondément dérangeante.
Les trois ans d’attente entre le volume 3 et le volume 4 de l’anthologie d’animation Love, Death & Robots ont clairement permis à la technologie d’évoluer de manière impressionnante. Il reste que, au delà de la perfection visuelle, une « bonne histoire » reste essentielle à la réussite d’un court métrage.
Après un mois de mai atypique où se succédée « famine » et « opulence », comme disent nos amis Outre-Manche, voici un moins de juin rempli à ras bord de concerts immanquables…
Toujours plus clivant, Wes Anderson continue son chemin en poussant de plus en plus tous les curseurs de son cinéma dans le rouge. On aimera ou on détestera The Phoenician Scheme, selon ce qu’on attend d’un film. Et finalement, c’est très bien comme ça !
Jolie et joyeuse résurrection de Petit Vampire, désormais au main d’une nouvelle équipe qui perpétue bien l’esprit de Sfar, en apportant de nouvelles tonalités, tant graphiques que scénaristiques. Une réussite.
Si Sweetpea s’interroge de manière pertinente sur la détresse des « invisibles » et des maltraités dans la société, elle a du mal à garder le bon équilibre, difficile, entre thriller drolatique et étude de mœurs.
Si il y a un nouveau groupe US qui est « chaud » en ce moment, c’est sans aucun doute les New Yorkais de TVOD, qui réveillent la tradition locale du punk rock fait la fois pour danser et pour réfléchir. Interview avec le leader du groupe.
Antidote à la dépression qui guette, la musique de Bananagun a illuminé jeudi soir un Supersonic rempli de gens souriants qui avaient envie de danser.