
[Contre] Life of Chuck : un gloubi-boulga philosophique
Grosse déception que ce Life of Chuck de Mike Flanagan, duquel on ressort éteint, sans trop savoir ce qu’on a vu durant deux heures, si ce n’est un film interminable et bien trop mièvre.
Grosse déception que ce Life of Chuck de Mike Flanagan, duquel on ressort éteint, sans trop savoir ce qu’on a vu durant deux heures, si ce n’est un film interminable et bien trop mièvre.
A partir de l’une des plus belles nouvelles de Stephen King, Flanagan réalise son meilleur film de cinéma, en nous offrant avec Life of Chuck une œuvre totalement dénuée de cynisme, une remise en question lumineuse de ce que nous choisissons de faire de nos vies.
Il y a beaucoup de chances que le Griffon, « petite » série allemande, passe inaperçue. Ce serait dommage car, en dépit de défauts non négligeables, elle propose une approche originale de la traditionnelle Fantasy pour « jeunes adultes ».
Même s’il paraît difficile de surprendre encore le téléspectateur gavé de thrillers psychologiques, Mon Amie Adèle réussit à sortir du lot et à nous offrir un spectacle aussi divertissant qu’étonnant.
Laurent Tirard adapte avec bonheur Le discours, roman de Fabrice Caro, dans une comédie rythmée, inventive, pleine de charme et de poésie, et même émouvante sur la fin. A ne pas manquer !
On était en droit d’attendre beaucoup du « Pinocchio » de Matteo Garrone qui s‘avère au final bien lisse et sans surprise. Mais les petits devraient quand même y trouver largement leur compte.
Très attendue, la mini série HBO se révèle très fidèle au récit uchronique imaginé par Philippe Roth dans son roman The Plot Against America où il imagine le populiste Charles Lindbergh vainqueur des élections présidentielles en 1940.
Après Pars vite et reviens tard, Debout les morts est le second roman de Fred Vargas qui se voit adapté pour France Culture. Un fiction radio très prenante qui a été réalisée tout en extérieur.
Quoi de mieux en cette période de confinement pour découvrir des séries TV que l’on avait manquées à l’époque de leur sortie ? Commençons notre exploration par ce Mr. Mercedes, excellente surprise au milieu de tant d’adaptations ratées de Stephen King.
Seconde incursion dans l’univers de Pierre Lemaître et nouvelle réussite pour Christian de Metter qui adapte avec brio Couleurs de l’incendie et fait ressortir toute la noirceur de l’histoire et des personnages.