“Fuis-moi, je te suis” de Koji Fukada : Une semi-déception
Moins passionnant et original que le premier volet de l’histoire de la course poursuite entre Tsuji et Ukiyo, Fuis-moi, je te suis n’échappe pas complètement à l’ennui. Une semi-déception…
Moins passionnant et original que le premier volet de l’histoire de la course poursuite entre Tsuji et Ukiyo, Fuis-moi, je te suis n’échappe pas complètement à l’ennui. Une semi-déception…
Première partie d’une comédie romantique sérieusement dérangée, voire dérangeante, qui aurait pu être primée à Cannes en 2020 si le festival avait eu lieu, Suis-moi, je te fuis est une drôle d’expérience. A ne pas manquer, donc !
Avant Drive My Car, Ryûsuke Hamaguchi avait réalisé ces délicieux Contes du Hasard et Autres Fantaisies, qu’il serait dommage d’ignorer sous prétexte qu’ils constituent une sorte d’ébauche du futur chef d’œuvre de son auteur…
Loin d’être uniquement réservé au public fan du célèbre shōnen, Jujutsi Kaisen 0, qui en est le préquel, est avant tout un animé de qualité, qui divertira et émouvra tous les cinéphiles ouverts d’esprit.
Hosoda, auteur complet de ce Belle, peine à intégrer le conte de la Belle et la Bête dans son habituel enchâssement entre réel et virtuel, et ne nous offre guère plus que quelques moments de beauté ou d’émotion mélodramatique.
Le cinquième et dernier film de la série Rurōni Kenshin adaptée d’un célèbre manga est une petite réussite, malgré quelques limitations, et son statut de « prequel » de l’histoire en fait une introduction parfaite à l’univers des 5 films de Keishi Ōtomo.
La première adaptation en CGI des célèbres aventures de Lupin III, petit-fils du grand Arsène, se révèle une déception malgré la qualité de sa mise en scène et de son graphisme.
Besoin de revenir à la vie, la vraie, après la furie incohérente de Tenet ? Dans un Jardin qu’on Dirait Eternel est l’une des meilleures options disponibles actuellement dans les salles : un beau film qui, malheureusement, ne remplit pas toutes les promesses de son sujet…
Qui ira voir l’Infirmière en espérant un thriller sera certainement déçu, alors que Fukada nous propose une nouvelle tragédie sociale mise en scène avec une précision époustouflante.
En 1993, Kitano réalise Sonatine, mélodie mortelle et s’ouvre la porte des petits festivals internationaux où quelques yeux attentifs (Tarantino, Dionnet…) vont découvrir la patte d’un grand cinéaste.