
Beloved : moins convaincant que Chained, mais toujours aussi audacieux
Après le choc que fut la découverte de Chained, la semaine dernière, Beloved se montre nettement moins convaincant, même si la démarche de Yaron Shani reste passionnante…
Après le choc que fut la découverte de Chained, la semaine dernière, Beloved se montre nettement moins convaincant, même si la démarche de Yaron Shani reste passionnante…
Comme le gong de la réouverture des salles a retenti, rien de tel qu’un coup de projecteur en trois axes sur Nous avons gagné ce soir de Robert Wise, un classique pugilistique du film noir.
Coup de projecteur en 3 axes sur Freaks de Tod Browning, film maudit devenu culte, pour redécouvrir toute la puissance de l’une des œuvres les plus marquantes de l’histoire du septième art.
Après le réussi Goodnight mommy en 2015, Veronika Franz et Severin Fiala reviennent avec une sorte de film d’épouvante psychologique à moitié convaincant.
Premier long métrage tourné à Tahiti, en langue tahitienne et avec des acteurs tahitiens, L’Oiseau de paradis invite le spectateur à plonger au cœur des croyances ancestrales, afin de découvrir une île bien loin des clichés touristiques habituels.
La poursuite de la découverte tardive de The Sinner, cette série largement décalée dans son propos par rapport au mainstream des séries policières, nous réserve à nouveau de bonnes surprises et suscite des réflexions passionnantes.
L’apparition de films singuliers, et donc de nouveaux « auteurs » potentiels, est toujours une raison de se réjouir. Reste que les immenses qualités formelles de Monos, du Colombien Alejandro Landes, ne dissimulent qu’à peine de sérieuses insuffisances…
Naomi Watts est elle aussi confinée, écrivaine en panne d’inspiration recluse dans son appartement du Bronx en ce brûlant mois de juillet 1977. Deuxième film du prometteur Alistair Banks Griffin, The wolf hour est pourtant un semi-échec.
La série Our Boys revient sur l’assassinat d’adolescents juifs et Palestiniens à l’été 2014. Une mini-série ultra réaliste et passionnante pour mieux comprendre le conflit israélo-palestinien.
Retour en ces temps de consommation compulsive de séries TV sur la très bonne première saison de The Sinner, honnête travail d’enquête « psychanalytique » sur l’origine de notre folie.