
Les meilleures bandes dessinées de 2021 : le Top 12 BENZINE
Et voici le top BD 2021 tant attendu ! Nos chroniqueurs ont dû se livrer à un véritable marathon pour pouvoir boucler cette sélection, tant l’année fut riche en productions de qualité.
Et voici le top BD 2021 tant attendu ! Nos chroniqueurs ont dû se livrer à un véritable marathon pour pouvoir boucler cette sélection, tant l’année fut riche en productions de qualité.
Troisième partie et fin de la saga du Dernier Atlas, dans une France uchronique qui ressemble beaucoup à la nôtre, et qui permet à Vehlmann, De Bonneval, Tanquerelle et leur équipe de clore avec brio leur œuvre majeure.
Une plongée dans les abysses imaginaires d’Olive qui se transforme en une véritable quête de soi, aux secrets enfouis et énigmatiques. Équipez-vous pour un voyage aux confins de l’être.
Dans ce nouveau livre extrêmement chaleureux et personnel, Nicoby évoque sa vie d’auteur, lui l’éternel passionné de bande dessinée. Un livre où l’on croisera entre autres, Blutch, Menu, Davodeau et même Tif et Tondu !
Si l’on doit dresser un bilan à mi-parcours de cette étrange année qui, pour cause de Covid-19, s’est vue amputée de quelques mois sur le plan des sorties, on peut tout de même retenir une petite sélection parmi les albums chroniqués sur Benzine depuis janvier.
On attendait avec impatience le second tome de l’incroyable saga uchronique du Dernier Atlas, que l’on rsique de bien de ranger au côté des meilleures réussites de Naoki Urasawa… et on n’est pas déçus !
Il nous a fallu du temps pour digérer le dernier chapitre (le douzième) de Ralph Azham : Lâcher Prise était un album frustrant, terriblement déprimant, qui traduisait surtout le besoin dévorant de Lewis Trondheim d’en finir.
Il y a des mondes que l’on porte à l’intérieur, des endroits où nous pouvons retrouver une part de soi inaccessible et surprenante, comme le raconte cette ravissante BD jeunesse où rêve et réalité se mêlent…
Critiqué pour des choix provocateurs dans la première partie de sa chronique de l’Occupation en Belgique habillée en « origin-story » de Spirou, Emile Bravo rectifie le tir dans ce second tome plus convaincant. Et plus fort.
Polar à succès en liaison avec l’impressionnisme, Nymphéas noirs a désormais sa version graphique. Une adaptation assez classique mais habile qui ne peut que séduire…