Iggy Pop – Every Loser : Retour à Kill City
Bonne année. Malgré la fraîcheur encore tendre de 2023, nous débutons par un gros morceau. Sur son dix-neuvième album, Iggy fricote avec le gratin rock d’Hollywood pour le meilleur et pour le reste…
Bonne année. Malgré la fraîcheur encore tendre de 2023, nous débutons par un gros morceau. Sur son dix-neuvième album, Iggy fricote avec le gratin rock d’Hollywood pour le meilleur et pour le reste…
Le second album des Bobby Lees reconduit la déflagration du premier avec une précision et une portée redoublée, confirmant le statut du groupe comme nouvel enfant terrible de la scène indie punk.
Vous ne le connaissez pas ou vous l’avez oublié, mais il pense à vous. Beaucoup. Ginger Wildheart sort son troisième album de l’année. Non, ce n’est pas une blague. Profitons-en pour revenir sur sa carrière de forcené. Et oui. Vous ne pensiez tout de même pas vous en tirer comme ça ?
Nouvelle sortie de la formation polonaise, Revolution Comes In Waves est, comme tout second album, chargé de transformer l’essai de son prédécesseur. Un peu de pression chez les post-punkeux ? « Même pas mal », semble être la réponse des intéressés.
Désormais réputé pour ses prestations scéniques énergiques, Starcrawler livre un troisième album qui tempère le grabuge des deux premiers tout en conservant leur concision. Un dégarnissage qui s’opère parfois au détriment de l’impact des chansons et de l’homogénéité de l’ensemble.
The Garden est de retour pour se moucher dans votre slip et botter tout fessier un peu trop confortablement posé. Le port d’une coque de sécurité n’est pas obligatoire mais reste vivement conseillé. La direction décline toute responsabilité en cas de coccyx fêlé.
Et une compilation de plus ! The Original Recording par The Sex Pistols accompagne la mini série Pistol de Danny Boyle, et revient sur leur trajectoire musicale éphémère et chaotique.
Honnie par John Lydon mais finalement relativement respectueuse d’une certaine vérité, la série Pistol réussit à évoquer quelque chose de l’explosion punk de 1977, mais déçoit du fait de choix discutables en termes de réalisation, de script et de direction d’acteurs.
Alors qu’on s’approche de la célébration des 50 ans du mouvement punk, dont l’impact sur la musique et sur la mode et le design reste visible de nos jours, Malcolm McLaren – L’Art du désastre revient avec brio sur l’histoire et sur la personnalité tourmentée de l’homme par qui le chaos advint.
Réédition de cet album iconique du groupe The Monsters sorti en 2011 et considéré comme le plus démoniaque de la formation garage-punk helvète The Monsters. Au programme quatorze titres bien zinzins.