
Le Daim de Quentin Dupieux : nerveux, intense, à l’os, du grand cinéma
Avec Le Daim, Quentin Dupieux, en pleine possession de ses moyens, livre avec brio une nouvelle modulation d’un cinéma qui n’appartient qu’à lui.
Avec Le Daim, Quentin Dupieux, en pleine possession de ses moyens, livre avec brio une nouvelle modulation d’un cinéma qui n’appartient qu’à lui.
Au poste ! Un gentil petit exercice de style entre amis où Quentin Dupieux tâte une fois de plus de l’absurde et du non-sens. Mais sans parvenir à se renouveler.
Il souffle sur “Le dos rouge” une liberté qui fait franchement plaisir à voir. Son réalisateur, Antoine Barraud, a bien voulu répondre aux questions de Carine Trenteun pour Benzine.
Voilà certainement l’un des films les plus singuliers de ce début d’année. Il a tout pour être agaçant mais jamais il n’agace. On pourrait le croire pédant, présomptueux, maniéré, il est léger, apaisant, drôle, bizarre.