romance

« Vent chaud » : goutte froide

Daniel Nolasco paraît vouloir compiler sans autre intention ce qui c’est fait de mieux dans le cinéma queer depuis des décennies. Résultat : son film s’en trouve désincarné, ne nous touche jamais vraiment et dans ses volontés de réel, et dans ses expériences mi-sensorielles, mi-érotiques.