Pour n’avoir pas su trouver la solution au déséquilibre entre la noirceur de son sujet et son positionnement de divertissement familial, et en accumulant beaucoup trop d’invraisemblances, Sweet Tooth déçoit franchement…
Couronné du Prix Renaudot, en 2017, le roman d’Olivier Guez, La disparition de Josef Mengele, bénéficie désormais d’une très belle adaptation en bande dessinée signée Jörg Mailliet et Matz. L’occasion de se replonger dans la monstrueuse existence du « docteur de la mort ».
Ne faisons pas attendre le lecteur : la seconde saison de Alice in Borderland est aussi bonne (certains disent meilleure) que la première, et propose une excellente conclusion à cette série toujours aussi haletante et stimulante.
Adapter en film – ou en série TV – Timothé Le Boucher, son esthétique si particulière et ses récits conceptuels très modernes, était tentant, mais ce premier essai s’avère un ratage complet.
On pouvait espérer que les showrunners de The Walking Dead nous laissent sur une bonne impression, après quelques hauts (pas trop hauts) et beaucoup de bas (très, très bas) au fil de la dernière décennie. Peine perdue, la série restera terriblement mauvaise.
Adaptation d’un roman graphique au thème passionnant, la Page Blanche est un film divertissant et aimable. Qui aurait certainement pu être bien plus que ça…
Grosse et délicieuse surprise que ces deux courts / moyens métrages proposés par Neil Gaiman en guise d’inter-saison de Sandman : deux véritables réussites qu’il est d’ailleurs possible de regarder de manière indépendante de la série elle-même.
On n’osait pas l’espérer, mais il l’a fait : Neil Gaiman a créé une série TV étonnante, et même parfois formidable à partir de The Sandman, son livre le plus célèbre et les plus honoré. Revue de détails…
Encore une série TV qui n’a pas su s’arrêter à temps : pourquoi a-t-il fallu faire jouer la photocopieuse dans une troisième saison de Umbrella Academy qui a perdu sa magie et répète des trucs déjà vus et revus, sans imagination ?
Rien de bien nouveau avec le second lot d’épisodes de la dernière saison de Walking Dead : toujours du remplissage peu inspiré, et toujours des moments assez forts qui nous permettent de ne pas avoir la sensation de perdre notre temps.