
90’s : retour vers l’adolescence de Jonah Hill
Pour son premier film, l’acteur américain Jonah Hill signe une attachante petite chronique 90’s en forme de récit d’apprentissage. Un film juste mais sans réelle profondeur.
Pour son premier film, l’acteur américain Jonah Hill signe une attachante petite chronique 90’s en forme de récit d’apprentissage. Un film juste mais sans réelle profondeur.
Malgré son format « télé », Lola et ses frères se présente comme une chronique dont la simplicité est autant vecteur de banalité que de beaux moments.
Comédie sans surprise mais plutot sympathique, Les bonnes intentions fera à coup sûr un bon petit film du dimanche soir.
Sous la forme d’une vacillante dramédie, cette odyssée intime narre l’histoire de Jimmy, un policier texan qui vient de perdre sa mère et qui tente, comme il le peut, d’élever sa fille… malgré les emmerdes.
le réalisateur Fabio Mollo, livre un attachant road movie existentiel, qui nous entraîne à suivre les pas du destin de Paolo, dont la rencontre inattendue avec Mia, une jeune femme marginale, va bouleverser le schéma inerte de sa vie.
Le temps d’un été, un adolescent découvre l’amour et la violence que supposent les sentiments, les choses de la vie. Luca Guadagnino fait du roman d’André Aciman une œuvre solaire et languide où resplendissent Timothée Chalamet et Armie Hammer.
Love est une série aussi simple que son titre. Une histoire d’amour entre deux personnages que tout oppose. Son plus ? L’esprit Judd Apatow.
Le réalisateur finlandais signe un film indispensable et précieux qui conjugue humanisme et humour dans une parabole à la fois plongée dans le réel et infiniment poétique.
Malgré le charme et l’énergie, malgré le charisme d’Edouard Baer, on reste un peu en retrait de cette histoire que l’on aurait voulue encore plus folle, encore plus libre.
Sébastien Betbeder filme deux anti-héros au Groenland pour des anti-aventures délicieusement décalées dans un film léger, désinvolte, un rien anecdotique.